Les conflits entre partenaires de vie peuvent tourner réellement au vinaigre. Un cas devant la cour suprême actuellement symbolise cela.
Il s’agit d’un homme qui a logé deux plaintes contre son épouse pour fausses déclarations dans lesquelles il lui réclame un total de Rs 7 millions. Mercredi, la cour a demandé que les deux affaires soient réunies car similaires.
Dans le premier cas, l’homme réclame Rs 2 millions. Il accuse son ex-épouse de l’avoir faussement accusé d’agression le 26 janvier 2013. À la suite de cette première plainte l’homme dit avoir été arrêté et poursuivi… avant que l’accusation ne soit finalement rayée.
Dans la seconde plainte, il accuse son ex-femme d’avoir fait, cette fois-ci, trois fausses déclarations à la police en décembre 2014 et février 2015. Dans l’une d’elles, la femme alléguait que son ex-époux aurait permis à leur fils de visionner des clips à caractère pornographique.
Cette fois, il réclame Rs 5 millions à son ex-femme. Il soutient qu’à la suite de ces déclarations, il a eu des soucis avec la justice avant que l’affaire, une fois de plus, ne soit classée par le bureau du Directeur des poursuites publiques.
C’est le juge Nicholas Oh San-Bellepeau qui préside l’audience.
Il s’agit d’un homme qui a logé deux plaintes contre son épouse pour fausses déclarations dans lesquelles il lui réclame un total de Rs 7 millions. Mercredi, la cour a demandé que les deux affaires soient réunies car similaires.
Dans le premier cas, l’homme réclame Rs 2 millions. Il accuse son ex-épouse de l’avoir faussement accusé d’agression le 26 janvier 2013. À la suite de cette première plainte l’homme dit avoir été arrêté et poursuivi… avant que l’accusation ne soit finalement rayée.
Dans la seconde plainte, il accuse son ex-femme d’avoir fait, cette fois-ci, trois fausses déclarations à la police en décembre 2014 et février 2015. Dans l’une d’elles, la femme alléguait que son ex-époux aurait permis à leur fils de visionner des clips à caractère pornographique.
Cette fois, il réclame Rs 5 millions à son ex-femme. Il soutient qu’à la suite de ces déclarations, il a eu des soucis avec la justice avant que l’affaire, une fois de plus, ne soit classée par le bureau du Directeur des poursuites publiques.
C’est le juge Nicholas Oh San-Bellepeau qui préside l’audience.