Xavier-Luc Duval l’a dit au tout début de la conférence de presse de la plateforme, à l’occasion du lancement de cette campagne, personne ne connaît la date du scrutin. Mais il a ajouté que durant la pandémie, 150 pays ont organisé des élections, que ce soit à un niveau régional ou national. Pour lui, donc, il faut organiser ce scrutin.
Sur cet aspect, Paul Bérenger a indiqué que les 4 dirigeants vont désormais descendre sur le terrain au niveau de chacune des villes. Il a reconnu que la limite de 50 personnes autorisées aux rassemblements sera un obstacle. Mais, selon lui, l’Espoir a décidé d’aller de l’avant avec sa campagne car elle veut reprendre les cinq mairies et redonner ses lettres de noblesse aux collectivités locales. Il a ajouté que le slogan de L’Espoir est « Honnêteté et compétence ».
Dans ce contexte, il a réclamé « un vote-sanction » contre le MSM. Car, pour lui, le prochain scrutin, que la plateforme réclame à cor et à cri, outre l’aspect municipal, a une portée nationale. Pour lui, il faut « sanctionner le MSM pour ce qu’il a fait au pays et ce qu’il est en train de lui faire ». Il a évoqué notamment l’aspect « money politics », la corruption, les atteintes à la démocratie, la gestion du Parlement, le fonctionnement de l’Icac et de la police. « Le MSM est en train de pourrir le pays », a-t-il déclaré.
Sur cet aspect, Paul Bérenger a indiqué que les 4 dirigeants vont désormais descendre sur le terrain au niveau de chacune des villes. Il a reconnu que la limite de 50 personnes autorisées aux rassemblements sera un obstacle. Mais, selon lui, l’Espoir a décidé d’aller de l’avant avec sa campagne car elle veut reprendre les cinq mairies et redonner ses lettres de noblesse aux collectivités locales. Il a ajouté que le slogan de L’Espoir est « Honnêteté et compétence ».
Dans ce contexte, il a réclamé « un vote-sanction » contre le MSM. Car, pour lui, le prochain scrutin, que la plateforme réclame à cor et à cri, outre l’aspect municipal, a une portée nationale. Pour lui, il faut « sanctionner le MSM pour ce qu’il a fait au pays et ce qu’il est en train de lui faire ». Il a évoqué notamment l’aspect « money politics », la corruption, les atteintes à la démocratie, la gestion du Parlement, le fonctionnement de l’Icac et de la police. « Le MSM est en train de pourrir le pays », a-t-il déclaré.