Lorsqu'on joue un séga judiciaire, un danseur comme Dev Hurnam n'est jamais loin. Et pour cause ! Il ne peut résister à l'appel du tam-tam. Comme à son habitude, l'homme de loi (qui ne peut pratiquer) n'a pas manqué de commenter la décision qui fait débat actuellement.
Il s'agit de la grâce présidentielle accordée à Chandra Prakash Dip, fils du commissaire de police. Ce qu'il n'a pas obtenu de la justice, le fils Dip l'a obtenu de Keshoe Parsad Matadeen. Sa condamnation de 12 mois a été commuée en une amende de Rs 100 000. Mais Dev Hurnam estime que la pétition de Dip Jr aurait dû avoir été rejetée car irrecevable. Il affirme que Chandra Prakash Dip contestait toujours sa condamnation devant la justice. De ce fait, la Commission for Prerogative of Mercy ne pouvait pas étudier ce cas. Il estime que l'ancien chef juge Keshoe Parsad Matadeen et le président de la République doivent démissionner. Néanmoins, cela n'est pas inclus dans la loi. Dev Hurnam va même jusqu'à insinuer que Siddick Chady pourrait être le prochain à obtenir la grâce présidentielle.
Il s'agit de la grâce présidentielle accordée à Chandra Prakash Dip, fils du commissaire de police. Ce qu'il n'a pas obtenu de la justice, le fils Dip l'a obtenu de Keshoe Parsad Matadeen. Sa condamnation de 12 mois a été commuée en une amende de Rs 100 000. Mais Dev Hurnam estime que la pétition de Dip Jr aurait dû avoir été rejetée car irrecevable. Il affirme que Chandra Prakash Dip contestait toujours sa condamnation devant la justice. De ce fait, la Commission for Prerogative of Mercy ne pouvait pas étudier ce cas. Il estime que l'ancien chef juge Keshoe Parsad Matadeen et le président de la République doivent démissionner. Néanmoins, cela n'est pas inclus dans la loi. Dev Hurnam va même jusqu'à insinuer que Siddick Chady pourrait être le prochain à obtenir la grâce présidentielle.