Il s’agit de deux géants d’Internet. Ils fustigent les propositions de l’Information and Communication Technologies Authority de réguler les réseaux sociaux à Maurice.
Google et Mozilla ont publié un communiqué conjoint ce jeudi. Ils disent comprendre « les préoccupations concernant la modération du contenu dans la langue locale (le kreol) soulevées lors de la consultation ». Néanmoins, ils ajoutent que « l'approche proposée aurait des implications graves et disproportionnées pour la vie privée et la sécurité des citoyens mauriciens ainsi que d'autres à l'étranger, sans apporter suffisamment de réponses aux préoccupations exprimées. »
Censure des réseaux sociaux par l'ICTA : 50 organisations internationales s'inquiètent des propositions du «consultation paper»
Mieux, Google et Mozilla soutiennent que les propositions de l’Icta « ne mettrait donc pas seulement en danger la vie privée des Mauriciens, mais compromettrait également l’intégrité et la sécurité du système dont Maurice et de nombreux autres pays dépendent pour les services essentiels ».
Le communiqué ajoute qu’on aurait, pour résultat, « un internet moins sécurisé pour les citoyens mauriciens, qui les exposerait à un plus grand risque de fraude, de vol d'identité et de surveillance ».
Comme quoi !
L'interventionnisme politique de l'ICTA de censurer les réseaux sociaux, un fait sans précédent à l'île Maurice
Google et Mozilla ont publié un communiqué conjoint ce jeudi. Ils disent comprendre « les préoccupations concernant la modération du contenu dans la langue locale (le kreol) soulevées lors de la consultation ». Néanmoins, ils ajoutent que « l'approche proposée aurait des implications graves et disproportionnées pour la vie privée et la sécurité des citoyens mauriciens ainsi que d'autres à l'étranger, sans apporter suffisamment de réponses aux préoccupations exprimées. »
Censure des réseaux sociaux par l'ICTA : 50 organisations internationales s'inquiètent des propositions du «consultation paper»
Mieux, Google et Mozilla soutiennent que les propositions de l’Icta « ne mettrait donc pas seulement en danger la vie privée des Mauriciens, mais compromettrait également l’intégrité et la sécurité du système dont Maurice et de nombreux autres pays dépendent pour les services essentiels ».
Le communiqué ajoute qu’on aurait, pour résultat, « un internet moins sécurisé pour les citoyens mauriciens, qui les exposerait à un plus grand risque de fraude, de vol d'identité et de surveillance ».
Comme quoi !
L'interventionnisme politique de l'ICTA de censurer les réseaux sociaux, un fait sans précédent à l'île Maurice