Pour le président du Mauritius Turf Club, les choses sont limpides. « Le gouvernement veut tout contrôler dans l'industrie des courses », affirme Jean Michel Giraud. Et pour lui, le gouvernement compte arriver à ses fins avec le Finance Bill. Et Jean Michel Giraud de se poser la question suivante : « Et quel sera notre rôle désormais ? S’occuper du gazon ? »
Le président du MTC a tenu une conférence de presse ce matin pour évoquer le contenu du Finance Bill. Ce projet de loi sera introduit en première lecture au Parlement ce mardi. Jean-Michel Giraud soutient que si le Finance Bill est adapté, le gouvernement va décider de tout dans l’industrie des courses. Il sera même responsable de l’octroi de la licence aux jockeys et aux entraîneurs.
Jean-Michel Giraud a aussi soutenu que depuis son élection à la présidence du MTC en mars dernier, la Gambling Regulatory Authority a refusé de le rencontrer. Rappelons que le Mauritius Turf Club s’est réuni en urgence ce matin. Justement, l’objectif était d’évoquer le projet de loi qui doit, selon ses dirigeants, « entraînera un contrôle absolu de l’État sur l’organisation courses hippiques ». Il a aussi été question des options possibles au cas où le gouvernement poursuit dans la voie de « l’étatisation déguisée » de l’industrie hippique.
Le président du MTC a tenu une conférence de presse ce matin pour évoquer le contenu du Finance Bill. Ce projet de loi sera introduit en première lecture au Parlement ce mardi. Jean-Michel Giraud soutient que si le Finance Bill est adapté, le gouvernement va décider de tout dans l’industrie des courses. Il sera même responsable de l’octroi de la licence aux jockeys et aux entraîneurs.
Jean-Michel Giraud a aussi soutenu que depuis son élection à la présidence du MTC en mars dernier, la Gambling Regulatory Authority a refusé de le rencontrer. Rappelons que le Mauritius Turf Club s’est réuni en urgence ce matin. Justement, l’objectif était d’évoquer le projet de loi qui doit, selon ses dirigeants, « entraînera un contrôle absolu de l’État sur l’organisation courses hippiques ». Il a aussi été question des options possibles au cas où le gouvernement poursuit dans la voie de « l’étatisation déguisée » de l’industrie hippique.
