Au moins Leela Devi Dookun-Luchoomun a fait court ! « Un patriote s’en est allé », a-t-elle déclaré en guise d’hommage à Raj Dayal lors des funérailles de ce dernier. Elle s’est la joué discrète. Tant mieux !
Heureusement pour Maneesh Gobin que le ridicule ne tue pas. Il aurait été foudroyé devant la porte du défunt Dayal. Il a d’abord déclaré qu’un soldat est tombé. Jusque-là, ça passe. D’autant que Dayal avait une admiration pour tout ce qui était militaire. Mais venir dire par la suite que c’est une grosse perte pour le parti. Pour le pays, ok. Mais pour le MSM. C’est une grosse blague.
Le drame, c’est que Maneesh Gobin a débité sans cligner des yeux. Il a rappelé que c’est sous sir Anerood Jugnauth que Raj Dayal a été élu et est devenu ministre. Soit ! Il omet de dire, notre Attorney General, que c’est sous le même SAJ que Raj Dayal a eu à démissionner. Et que Dayal était presque en guerre contre le parti car il estimait qu’il devait revenir au sein du Cabinet. C’est un tout petit peu malhonnête de retenir une partie de l’histoire ! Non pas qu’il faille défendre Dayal. L’ancien commissaire de police s’est fait piéger, comme ministre, pour quelques sachets de poudre de couleur. C’est idiot ! Il l’a payé. Chèrement. Mais qu’on tente de faire de la récupération en parlant de lui comme d’une figure paternelle. Décidément, à force de se vautrer dans la boue, Maneesh Gobin va finir par devenir méconnaissable.
Heureusement pour Maneesh Gobin que le ridicule ne tue pas. Il aurait été foudroyé devant la porte du défunt Dayal. Il a d’abord déclaré qu’un soldat est tombé. Jusque-là, ça passe. D’autant que Dayal avait une admiration pour tout ce qui était militaire. Mais venir dire par la suite que c’est une grosse perte pour le parti. Pour le pays, ok. Mais pour le MSM. C’est une grosse blague.
Le drame, c’est que Maneesh Gobin a débité sans cligner des yeux. Il a rappelé que c’est sous sir Anerood Jugnauth que Raj Dayal a été élu et est devenu ministre. Soit ! Il omet de dire, notre Attorney General, que c’est sous le même SAJ que Raj Dayal a eu à démissionner. Et que Dayal était presque en guerre contre le parti car il estimait qu’il devait revenir au sein du Cabinet. C’est un tout petit peu malhonnête de retenir une partie de l’histoire ! Non pas qu’il faille défendre Dayal. L’ancien commissaire de police s’est fait piéger, comme ministre, pour quelques sachets de poudre de couleur. C’est idiot ! Il l’a payé. Chèrement. Mais qu’on tente de faire de la récupération en parlant de lui comme d’une figure paternelle. Décidément, à force de se vautrer dans la boue, Maneesh Gobin va finir par devenir méconnaissable.