Hier, les dirigeants du Hindu Ladies Council ont remis une lettre au Commissaire de police afin de dénoncer la circulation de vidéos intimes de Doomila Moheeputh et Akil Bissessur.
Elles étaient accompagnée de l'avocate Lovena Sowkhee, leur conseillère légale. Mais en tant politicienne, et peut-être récipiendaire d'une investiture du PTr aux prochaines élections, n'est pas tombée dans le piège. Elle a insisté sur le fait que la communauté de la victime importe peu. « Sans tenir compte de la communauté de la victime, je pense qu'il faut préciser cela, il est totalement inacceptable et odieux qu'une telle vidéo circule sur les réseaux sociaux », a-t-elle déclaré. Elle a ajouté que les droits des femmes ne peuvent régresser en 2022. « On ne peut tolérer le Revenge Porn. Le coupable doit être neutralisé au plus vite », a-t-elle ajouté.
Elles étaient accompagnée de l'avocate Lovena Sowkhee, leur conseillère légale. Mais en tant politicienne, et peut-être récipiendaire d'une investiture du PTr aux prochaines élections, n'est pas tombée dans le piège. Elle a insisté sur le fait que la communauté de la victime importe peu. « Sans tenir compte de la communauté de la victime, je pense qu'il faut préciser cela, il est totalement inacceptable et odieux qu'une telle vidéo circule sur les réseaux sociaux », a-t-elle déclaré. Elle a ajouté que les droits des femmes ne peuvent régresser en 2022. « On ne peut tolérer le Revenge Porn. Le coupable doit être neutralisé au plus vite », a-t-elle ajouté.