Plus de 48 heures après la diffusion de vidéos provenant du téléphone de la compagne de l'avocat Akil Bissessur, qui avait été remis aux policiers pour les besoins de l'enquête, lors de leur garde à vue, le commissaire de police qui doit être supposément aux faits de ce dysfonctionnement, déclare ne pas avoir connaissance. Il ne manque plus que le « J’apprends cela de vous » de Pravind Jugnauth pour que la boucle soit bouclée.
La "braguette ouverte", un film recommandé par Jugnauth père et fils
Un silence qui en dit long du Premier ministre, grand "défenseur des femmes", qui a maintes reprises a interpellé la foule avec ses mots pour se faire élire : «Pran tou ban dirigeants, ban leader de ban parti politik ki ena aspiration pou vine Premier minis. Nek pense ene kou sak madam ki ici, si met ou, ou tifi tou sel dan ene la sam ar sak leader de ban parti politik là, dir mwa avec kisanla ou pou pli santi ou pli en sekirite ? Dir mwa ! Mo laisse sa repons la pou zotte».
Pourtant, comme soutien Rama Valayden, l’un des avocats d'Akil Bissessur, les photos intimes de la veuve de Soopramanian Kistnen avaient aussi fuité sur les réseaux sociaux en pleine enquête judiciaire. Le député travailliste, Ehsan Juman, a également fait par de son indignation et exige qu'au nom de «nos mères, soeurs, épouses et filles» que ce grave délit soit puni. «Tout gouvernement responsable aurait immédiatement déjà suspendu les agents de police qui ont eu accès au téléphone portable de Monsieur Bissessur et de sa compagne.»
Notons l'absence de réactions des "Pom pom girls" du MSM, Kalpanah Koonjoo-Shah en tête et des organisations socioculturelles, qui ont pour habitude de monter au créneau avec des indignations à géométrie variable.
La "braguette ouverte", un film recommandé par Jugnauth père et fils
Un silence qui en dit long du Premier ministre, grand "défenseur des femmes", qui a maintes reprises a interpellé la foule avec ses mots pour se faire élire : «Pran tou ban dirigeants, ban leader de ban parti politik ki ena aspiration pou vine Premier minis. Nek pense ene kou sak madam ki ici, si met ou, ou tifi tou sel dan ene la sam ar sak leader de ban parti politik là, dir mwa avec kisanla ou pou pli santi ou pli en sekirite ? Dir mwa ! Mo laisse sa repons la pou zotte».
Pourtant, comme soutien Rama Valayden, l’un des avocats d'Akil Bissessur, les photos intimes de la veuve de Soopramanian Kistnen avaient aussi fuité sur les réseaux sociaux en pleine enquête judiciaire. Le député travailliste, Ehsan Juman, a également fait par de son indignation et exige qu'au nom de «nos mères, soeurs, épouses et filles» que ce grave délit soit puni. «Tout gouvernement responsable aurait immédiatement déjà suspendu les agents de police qui ont eu accès au téléphone portable de Monsieur Bissessur et de sa compagne.»
Notons l'absence de réactions des "Pom pom girls" du MSM, Kalpanah Koonjoo-Shah en tête et des organisations socioculturelles, qui ont pour habitude de monter au créneau avec des indignations à géométrie variable.
