L’ancien dirigeant de l’Association mauricienne de badminton, Raja Gaya, a été interrogé par des officiers de l’Independent Commission Against Corruption (ICAC), vendredi 19 avril. Il était assisté de l’avocat Antoine Domingue.
Il fait l’objet d’une enquête pour détournement de fonds allégué, d’une valeur de Rs 50 millions, destiné à la confédération africaine de badminton et à l’association mauricienne de badminton.
Le mauricien Raj Gaya occupait depuis 1999 différentes fonctions au sein de la Fédération mondiale de badminton, de la Confédération africaine de badminton (CAB) et de la Mauritius Badminton Association (MBA).
Le comité d’audience sur l’éthique de la BWF a ouvert une enquête sur ce responsable en juin dernier après un rapport accablant de corruption à son encontre. L’ancien président de l’AMB, Bashir Mungroo, avait également fait «plusieurs allégations» de corruption contre lui.
L'enquête avait révélé que Raj Gaya avait utilisé des fonds destinés au MBA sur son compte bancaire personnel et avait falsifié des demandes de remboursement, ainsi que des documents officiels tout en refusant de coopérer à l’enquête.
La commission de trois membres présidée par Sylvia Schenk, avait déclaré qu’elle interdirait à Gaya « d’exercer toute fonction de badminton à vie » et lui a ordonné de payer une amende de 50 000 dollars, une décision confirmée par la Badminton World Federation (BWF).
Il fait l’objet d’une enquête pour détournement de fonds allégué, d’une valeur de Rs 50 millions, destiné à la confédération africaine de badminton et à l’association mauricienne de badminton.
Le mauricien Raj Gaya occupait depuis 1999 différentes fonctions au sein de la Fédération mondiale de badminton, de la Confédération africaine de badminton (CAB) et de la Mauritius Badminton Association (MBA).
Le comité d’audience sur l’éthique de la BWF a ouvert une enquête sur ce responsable en juin dernier après un rapport accablant de corruption à son encontre. L’ancien président de l’AMB, Bashir Mungroo, avait également fait «plusieurs allégations» de corruption contre lui.
L'enquête avait révélé que Raj Gaya avait utilisé des fonds destinés au MBA sur son compte bancaire personnel et avait falsifié des demandes de remboursement, ainsi que des documents officiels tout en refusant de coopérer à l’enquête.
La commission de trois membres présidée par Sylvia Schenk, avait déclaré qu’elle interdirait à Gaya « d’exercer toute fonction de badminton à vie » et lui a ordonné de payer une amende de 50 000 dollars, une décision confirmée par la Badminton World Federation (BWF).