Faire le pitre sur un terrain de foot n’a pas les mêmes conséquences que lors d’une enquête judiciaire. L’ancien footballeur et ancien journaliste Deepak Bonomally l’a appris à ses dépens. Et là, alors qu’il a connu de près, très près même, une cellule de police, et pas dans le cadre d’un reportage, le voilà qui se démène comme un beau diable pour se sortir d’affaire.
Arrêté le 13 mai, sous une accusation provisoire de faux témoignage sous serment durant l’enquête judiciaire, il est en liberté conditionnelle.
Le directeur de Bo Digital s’en remet à la Cour suprême, affirmant que ses droits en tant que témoin n’auraient pas été respectés lorsqu’il a été auditionné lors de l’enquête judiciaire sur la mort de Soopramanien Kistnen en cour de Moka. Deepak Bonomally réclame que la cour suprême déclare que la procédure n’a pas été respectée lors des travaux de l’enquête judiciaire. Bref, que la magistrate Vidya Mungroo-Jugurnath a mal conduit les travaux. En fait, selon Deepak Bonomally, les avocats d’autres témoins, tels les Valayden et Bhadain, n’auraient pas dû avoir le droit de l’interroger.
Mais ce n’est pas tout ! Deepak Bonomally demande que sa déposition soit ignorée par la magistrate. Rappelons que Vidya Mungroo-Jugurnath doit prochainement soumettre ses conclusions au DPP. La plainte de Deepak Bonomally a été rédigée par l’avoué Rajesh Bucktowonsing. Deepak Bonomally n’en veut pas qu’à la magistrate. Il prend aussi le représentant du DPP, Me Azam Neerooa, pour cible.
Il estime que ce dernier aurait usurpé le rôle de la magistrate lors des travaux de cette enquête judiciaire. L’affaire a été appelé devant le chef juge lundi dernier. Évidemment, les représentants de la magistrate Vidya Mungroo-Jugurnath et du DPP ont résisté à la motion de l’ami Bonomally. L’affaire a été renvoyée au 12 juillet.
Arrêté le 13 mai, sous une accusation provisoire de faux témoignage sous serment durant l’enquête judiciaire, il est en liberté conditionnelle.
Le directeur de Bo Digital s’en remet à la Cour suprême, affirmant que ses droits en tant que témoin n’auraient pas été respectés lorsqu’il a été auditionné lors de l’enquête judiciaire sur la mort de Soopramanien Kistnen en cour de Moka. Deepak Bonomally réclame que la cour suprême déclare que la procédure n’a pas été respectée lors des travaux de l’enquête judiciaire. Bref, que la magistrate Vidya Mungroo-Jugurnath a mal conduit les travaux. En fait, selon Deepak Bonomally, les avocats d’autres témoins, tels les Valayden et Bhadain, n’auraient pas dû avoir le droit de l’interroger.
Mais ce n’est pas tout ! Deepak Bonomally demande que sa déposition soit ignorée par la magistrate. Rappelons que Vidya Mungroo-Jugurnath doit prochainement soumettre ses conclusions au DPP. La plainte de Deepak Bonomally a été rédigée par l’avoué Rajesh Bucktowonsing. Deepak Bonomally n’en veut pas qu’à la magistrate. Il prend aussi le représentant du DPP, Me Azam Neerooa, pour cible.
Il estime que ce dernier aurait usurpé le rôle de la magistrate lors des travaux de cette enquête judiciaire. L’affaire a été appelé devant le chef juge lundi dernier. Évidemment, les représentants de la magistrate Vidya Mungroo-Jugurnath et du DPP ont résisté à la motion de l’ami Bonomally. L’affaire a été renvoyée au 12 juillet.
