Il mérite plus que son grande de sergent. Jean Marie Cazelin, affecté à la National Coast Guard, a déposé hier devant la cour d'investigation sur le naufrage du Wakashio.
Il a déclaré que le navire « aurait pu être libéré des récifs » de Pointe d’Esny. Il aurait fallu, souligne le sergent Cazelin, attendre la marée haute. Il a précisé qu’avec la marée, l’eau montant de 35 à 40 centimètres.
De plus, il a insisté sur le fait que le Wakashio était seulement coincé sur les récifs. Ce n’est pas comme s’il avait percuté de plein fouet un iceberg. Selon Jean Marie Cazelin, la Salvage Team aurait dû utiliser des poids afin de stabiliser le navire.
Il a déclaré que le navire « aurait pu être libéré des récifs » de Pointe d’Esny. Il aurait fallu, souligne le sergent Cazelin, attendre la marée haute. Il a précisé qu’avec la marée, l’eau montant de 35 à 40 centimètres.
De plus, il a insisté sur le fait que le Wakashio était seulement coincé sur les récifs. Ce n’est pas comme s’il avait percuté de plein fouet un iceberg. Selon Jean Marie Cazelin, la Salvage Team aurait dû utiliser des poids afin de stabiliser le navire.