Depuis le début de l’année, 5 cas de noyades ont été enregistrés à Maurice. Il s’avère que plus de 90 individus y ont perdu la vie ces cinq dernières années.
Les principales causes des noyades
Le manque de prudence, la panique dans les zones où les courants peuvent les déstabiliser, l’excès de nourriture, mais aussi la consommation d’alcool.
Il n’y a pas que des mauriciens qui périssent en mer
Il n’y a pas que des Mauriciens qui meurent en mer ou en rivière mais il y a aussi des touristes.
Des mesures en cours d’études
Le chef de file du Parti travailliste, Shakeel Mohamed, avait interrogé le ministre mentor s’il y aurait éventuellement des constructions de tours et si des sauveteurs seront postés sur toutes les plages publiques. En réponse à cette question Sir Anerood Jugnauth avait indiqué que le sujet est en cours d’études, soulignant que la mer n’est pas la seule fatalité.
En cette période de forte chaleur, les Mauriciens en profitent pour se rafraîchir à la mer ou à la rivière.
Toutefois, 80 % des Mauriciens ne savent pas nager, mais il n’est jamais trop tard pour apprendre selon Viraj Ramahrai, de l’association Surf Life Saving.
Il a lancé le projet « APRAN SAP TO LAVI DAN DELO ».
Les principales causes des noyades
Le manque de prudence, la panique dans les zones où les courants peuvent les déstabiliser, l’excès de nourriture, mais aussi la consommation d’alcool.
Il n’y a pas que des mauriciens qui périssent en mer
Il n’y a pas que des Mauriciens qui meurent en mer ou en rivière mais il y a aussi des touristes.
Des mesures en cours d’études
Le chef de file du Parti travailliste, Shakeel Mohamed, avait interrogé le ministre mentor s’il y aurait éventuellement des constructions de tours et si des sauveteurs seront postés sur toutes les plages publiques. En réponse à cette question Sir Anerood Jugnauth avait indiqué que le sujet est en cours d’études, soulignant que la mer n’est pas la seule fatalité.
En cette période de forte chaleur, les Mauriciens en profitent pour se rafraîchir à la mer ou à la rivière.
Toutefois, 80 % des Mauriciens ne savent pas nager, mais il n’est jamais trop tard pour apprendre selon Viraj Ramahrai, de l’association Surf Life Saving.
Il a lancé le projet « APRAN SAP TO LAVI DAN DELO ».