« Si cela continue, je vais devoir prendre des actions ! » La menace est claire. À moins d’une grève de la faim, on voit mal ce que pourra faire Xavier-Luc Duval à part démissionner comme leader de l’opposition. Car on voit difficile l’un des plus grands épicuriens du pays installer une tente sur le parvis de Cathédrale St Louis et démarrer une grève de la faim.
Hier, en conférence de presse, il s’est longuement appesanti sur les menaces qui planent sur les prérogatives du leader de l’opposition. Il a d’abord dénoncé le fait que sur les 31 minutes qu’a duré la Private Notice Question, il n’a eu droit qu’à 4 minutes de parlotte. « De plus, le Premier ministre a dit qu’il répondait à la PNQ et une interpellation de Reza Uteem. J’ai eu droit à 4 questions supplémentaires mais Reza n’en a eu aucune. Donc, il ne faut pas venir me faire perdre mon temps », a-t-il déclaré.
Xavier-Luc Duval a aussi déclaré qu’il a accepté certaines choses, faute de ne pouvoir les changer. Pour lui, la façon dont le Premier ministre, le président de la République et la Public Service Commission le consultent, lorsqu’ils sont tenus de le faire par la Constitution, rend le poste qu’il occupe ridicule. « Ils m’envoient une lettre pour m’informer et me demander ce que je pense. Quelle que soit ma réponse, ils m’envoient balader et vont de l’avant avec leur choix. Même lorsque je demande à rencontrer la personne en question afin de connaître sa vision pour l’organisme en question », a-t-il déploré.
Xavier-Luc Duval est allé jusqu’à dire que la section de la Constitution obligeant le gouvernement à consulter le leader de l’opposition est désormais une « totale nullité ». « Le poste même de leader de l’opposition est devenu ridicule. Car il y a un manque de respect flagrant envers cette fonction », a-t-il déclaré. Xavier-Luc Duval a déclaré qu’il ne peut laisser cette situation perdurer. « Si je laisse faire, le rôle constitutionnel de leader de l’opposition deviendra comme un vase à fleurs », a-t-il affirmé. Il a ajouté qu’il ne peut accepter cela. « Je vais devoir prendre certaines actions. Je ne vais pas laisser le gouvernement grignoter les dernières prérogatives du leader de l’opposition. Je n’accepterais pas que ce poste dégringole encore », a-t-il menacé.
Rappelons qu’il n’a pas posé de PNQ mercredi en guise de protestation. Il a cependant indiqué qu’il va le faire durant les prochaines séances. Car ce qu’il attend, c’est que le gouvernement se ressaisisse.
Hier, en conférence de presse, il s’est longuement appesanti sur les menaces qui planent sur les prérogatives du leader de l’opposition. Il a d’abord dénoncé le fait que sur les 31 minutes qu’a duré la Private Notice Question, il n’a eu droit qu’à 4 minutes de parlotte. « De plus, le Premier ministre a dit qu’il répondait à la PNQ et une interpellation de Reza Uteem. J’ai eu droit à 4 questions supplémentaires mais Reza n’en a eu aucune. Donc, il ne faut pas venir me faire perdre mon temps », a-t-il déclaré.
Xavier-Luc Duval a aussi déclaré qu’il a accepté certaines choses, faute de ne pouvoir les changer. Pour lui, la façon dont le Premier ministre, le président de la République et la Public Service Commission le consultent, lorsqu’ils sont tenus de le faire par la Constitution, rend le poste qu’il occupe ridicule. « Ils m’envoient une lettre pour m’informer et me demander ce que je pense. Quelle que soit ma réponse, ils m’envoient balader et vont de l’avant avec leur choix. Même lorsque je demande à rencontrer la personne en question afin de connaître sa vision pour l’organisme en question », a-t-il déploré.
Xavier-Luc Duval est allé jusqu’à dire que la section de la Constitution obligeant le gouvernement à consulter le leader de l’opposition est désormais une « totale nullité ». « Le poste même de leader de l’opposition est devenu ridicule. Car il y a un manque de respect flagrant envers cette fonction », a-t-il déclaré. Xavier-Luc Duval a déclaré qu’il ne peut laisser cette situation perdurer. « Si je laisse faire, le rôle constitutionnel de leader de l’opposition deviendra comme un vase à fleurs », a-t-il affirmé. Il a ajouté qu’il ne peut accepter cela. « Je vais devoir prendre certaines actions. Je ne vais pas laisser le gouvernement grignoter les dernières prérogatives du leader de l’opposition. Je n’accepterais pas que ce poste dégringole encore », a-t-il menacé.
Rappelons qu’il n’a pas posé de PNQ mercredi en guise de protestation. Il a cependant indiqué qu’il va le faire durant les prochaines séances. Car ce qu’il attend, c’est que le gouvernement se ressaisisse.
