La PNQ était axée sur l’absence de devises dans le pays et la dévaluation de la roupie. Dans sa réponse liminaire, Renganaden Padayachy a expliqué les répercussions de la pandémie sur l’entrée des devises. Il a indiqué que pour 2020 et 2021, le pays a enregistré un manque à gagner total de 122 milliards de roupies en termes de devises étrangères. Il a ajouté que depuis mars 2020, la Banque de Maurice est intervenue sur le marché des devises en vendant 2,9 milliards de dollars américains.
Il a aussi reconnu la roupie a connu une dévaluation de 7,6% en 2020 et 9,2% en 2021. « La roupie aurait pu être plus largement affectée », a expliqué Renganaden Padayachy, avant de sortir son arme secrète. « En 2012, est-ce que Xavier-Luc Duval, alors ministre des Finances, n’a-t-il pas voulu dévaluer la roupie en injectant 100 millions de dollars sur le marché des devises ? Je dois préciser qu’il n’y avait pas de confinement à l’époque et que la croissance mondiale était à un niveau correct », a-t-il lancé.
Xavier-Luc Duval a répliqué que la roupie ne s’est dévaluée que d’un pourcentage minime lorsqu’il était aux finances. Mais il n’avait pas dit son dernier mot. Il a demandé au ministre des Finances d’expliquer pourquoi, durant les cinq mois suivant sa prise de fonction, c’est-à-dire de novembre 2019 à mars 2020, la roupie s’est dévaluée de 8%.
Ils se sont échangé des coups de cette nature. Xavier-Luc Duval a évoqué « la faiblesse de la Banque de Maurice » alors que Renganaden Padayachy a mis de l’avant l’indépendance de l’institution. Il a encore une fois fait une incursion dans le passé en accusant Xavier-Luc Duval, à l’époque, d’avoir évoqué « la cherté de la roupie », d’avoir attaqué le Gouverneur de la Banque de Maurice et d’avoir « sciemment dévalué la roupie ».
Renganaden Padayachy a aussi révélé que la Banque de Maurice vise désormais à faire apprécier la roupie. Mais sur ce plan, il a critiqué ceux qui spéculent contre la roupie en gardant leurs devises. Xavier-Luc Duval a dit qu’il fallait les comprendre car ils n’ont pas confiance dans la Banque de Maurice. Il a donné plusieurs raisons avant de lancer : « Si le ministre ne comprend pas cela, il vous faut retourner à l’école mon cher ! »
Il a aussi reconnu la roupie a connu une dévaluation de 7,6% en 2020 et 9,2% en 2021. « La roupie aurait pu être plus largement affectée », a expliqué Renganaden Padayachy, avant de sortir son arme secrète. « En 2012, est-ce que Xavier-Luc Duval, alors ministre des Finances, n’a-t-il pas voulu dévaluer la roupie en injectant 100 millions de dollars sur le marché des devises ? Je dois préciser qu’il n’y avait pas de confinement à l’époque et que la croissance mondiale était à un niveau correct », a-t-il lancé.
Xavier-Luc Duval a répliqué que la roupie ne s’est dévaluée que d’un pourcentage minime lorsqu’il était aux finances. Mais il n’avait pas dit son dernier mot. Il a demandé au ministre des Finances d’expliquer pourquoi, durant les cinq mois suivant sa prise de fonction, c’est-à-dire de novembre 2019 à mars 2020, la roupie s’est dévaluée de 8%.
Ils se sont échangé des coups de cette nature. Xavier-Luc Duval a évoqué « la faiblesse de la Banque de Maurice » alors que Renganaden Padayachy a mis de l’avant l’indépendance de l’institution. Il a encore une fois fait une incursion dans le passé en accusant Xavier-Luc Duval, à l’époque, d’avoir évoqué « la cherté de la roupie », d’avoir attaqué le Gouverneur de la Banque de Maurice et d’avoir « sciemment dévalué la roupie ».
Renganaden Padayachy a aussi révélé que la Banque de Maurice vise désormais à faire apprécier la roupie. Mais sur ce plan, il a critiqué ceux qui spéculent contre la roupie en gardant leurs devises. Xavier-Luc Duval a dit qu’il fallait les comprendre car ils n’ont pas confiance dans la Banque de Maurice. Il a donné plusieurs raisons avant de lancer : « Si le ministre ne comprend pas cela, il vous faut retourner à l’école mon cher ! »