Me Dick Ng Sui Wa, Chairman de l’Information and Communication Technologies (ICTA) n'est pas un novice en matière de répression sur la liberté d'expression. Sous prétexte de réguler les dérapages sur les réseaux sociaux, le Chairman de l’ICTA tente coûte que coûte et souvent au prix de la liberté d'expression, de protéger le gouvernement des critiques nourries par les internautes.
Liberté d'expression à l'île Maurice : la dérive dangereuse de l'ICTA
Dick Ng Sui Wa veut mettre un bâillon aux rédactions de presse
Ce nominé politique à la solde du régime, déplorait dans un passé pas si lointain l’absence de pouvoirs de l’ICTA à enquêter et à poursuivre les auteurs de publications et commentaires sur les réseaux sociaux. Ils ont trouvé la formule. Ainsi, profitant du nombre de plaintes pour divers délit sur les réseaux sociaux (agacement, harcèlement, usurpation d’identité…), l’ICTA vient avec un consultation paper en vue de mettre sur pied un cadre légal afin d’adresser le problème d’abus et de mauvaise utilisation des médias sociaux et plateformes digitales avec seulement 2 051 plaintes.
Chaque Mauricien aura un indicateur dans son ordinateur ou son smartphone !
Une fois enregistrée sur ce serveur proxy, toute personne critique pourrait être identifiée et traquée par les hommes du pouvoir. Une fois que vous émettez un message critique contre le gouvernement, qui dit que vous n’allez pas entrer dans une liste des cibles du gouvernement ? Même si des actions ne seront pas prises contre vous.
La résistance s'organise avec une pétition citoyenne en ligne. Cliquez sur le lien pour de plus amples informations.
Liberté d'expression à l'île Maurice : la dérive dangereuse de l'ICTA
Dick Ng Sui Wa veut mettre un bâillon aux rédactions de presse
Ce nominé politique à la solde du régime, déplorait dans un passé pas si lointain l’absence de pouvoirs de l’ICTA à enquêter et à poursuivre les auteurs de publications et commentaires sur les réseaux sociaux. Ils ont trouvé la formule. Ainsi, profitant du nombre de plaintes pour divers délit sur les réseaux sociaux (agacement, harcèlement, usurpation d’identité…), l’ICTA vient avec un consultation paper en vue de mettre sur pied un cadre légal afin d’adresser le problème d’abus et de mauvaise utilisation des médias sociaux et plateformes digitales avec seulement 2 051 plaintes.
Chaque Mauricien aura un indicateur dans son ordinateur ou son smartphone !
Une fois enregistrée sur ce serveur proxy, toute personne critique pourrait être identifiée et traquée par les hommes du pouvoir. Une fois que vous émettez un message critique contre le gouvernement, qui dit que vous n’allez pas entrer dans une liste des cibles du gouvernement ? Même si des actions ne seront pas prises contre vous.
La résistance s'organise avec une pétition citoyenne en ligne. Cliquez sur le lien pour de plus amples informations.