![[Disparition du MH 370] La France, enquêtera seule](https://www.zinfos-moris.com/photo/art/grande/24335645-26208996.jpg?v=1533552002 "[Disparition du MH 370] La France, enquêtera seule")
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Les autorités malaisiennes par l'intermédiaire du ministre malaisien des Transports, Anthony Loke, avaient rendu public, le lundi 30 juillet le rapport sur la disparition du vol MH370.
Un rapport attendu de longue date sur la disparition en 2014 du vol MH370, de la compagnie Malaysia Airlines.
Le 8 mars 2014, le Boeing 777 200ER de la Malaysia Airlines assurant le vol MH 370 Kuala Lumpur - Pékin disparaissait peu après son décollage.
Mais quatre ans après, on ne sait toujours pas ce qui est arrivé aux 227 passagers et aux 12 membres d'équipage du vol MH370.
Les recherches qui ont couvert 112 000 km² dans le sud de l'océan Indien pendant trois mois ont pris fin en mai, sans résultats probants. La Malaisie avait mis fin à des recherches sous-marines, à financements privés, de l'épave de l'appareil.
À ce jour, seuls un flaperon découvert sur la plage de Bois-Rouge à Saint-André en juillet 2015 et des débris retrouvés à Maurice, en Afrique du Sud, au Mozambique et en Tanzanie, ont été formellement rattachés à la disparition du Boeing 777 de la Malaysia Airlines. Mais ces découvertes n'ont pas permis d'élucider le mystère.
Depuis cette date, tous les pays concernés par la disparition des passagers ont abandonné les recherches.
Seule la France poursuit ses investigations, avec la section de recherches de la gendarmerie des transports aériens (SR-GTA) qui poursuit l’enquête à la demande de la justice. Selon les informations du journal "Le Parisien".
La présence de victimes françaises autorise la France à mener ses propres investigations.
La gendarmerie des transports aériens entend vérifier la véracité et l’authenticité de toutes les données techniques transmises dans ce rapport, notamment fournies par la société britannique Inmarsat, qui a réceptionné les positions transmises par le 777.
Les gendarmes veulent la source de ces données pour comprendre la trajectoire de cet appareil. Il n’est pas exclu qu’une commission rogatoire internationale les autorise à récupérer à la rentrée les données brutes transmises, précise Le Parisien.
Lire également :
https://www.zinfos-moris.com/Vol-MH370-Le-directeur-de-l-aviation-civile-malaisienne-demissionne_a564.html
https://www.zinfos-moris.com/DISPARITION-DU-VOL-MH370-UN-RAPPORT-D-ENQUETE-FINAL-A-ETE-PUBLIE-CE-LUNDI-30-JUILLET_a553.html
Un rapport attendu de longue date sur la disparition en 2014 du vol MH370, de la compagnie Malaysia Airlines.
Le 8 mars 2014, le Boeing 777 200ER de la Malaysia Airlines assurant le vol MH 370 Kuala Lumpur - Pékin disparaissait peu après son décollage.
Mais quatre ans après, on ne sait toujours pas ce qui est arrivé aux 227 passagers et aux 12 membres d'équipage du vol MH370.
Les recherches qui ont couvert 112 000 km² dans le sud de l'océan Indien pendant trois mois ont pris fin en mai, sans résultats probants. La Malaisie avait mis fin à des recherches sous-marines, à financements privés, de l'épave de l'appareil.
À ce jour, seuls un flaperon découvert sur la plage de Bois-Rouge à Saint-André en juillet 2015 et des débris retrouvés à Maurice, en Afrique du Sud, au Mozambique et en Tanzanie, ont été formellement rattachés à la disparition du Boeing 777 de la Malaysia Airlines. Mais ces découvertes n'ont pas permis d'élucider le mystère.
Depuis cette date, tous les pays concernés par la disparition des passagers ont abandonné les recherches.
Seule la France poursuit ses investigations, avec la section de recherches de la gendarmerie des transports aériens (SR-GTA) qui poursuit l’enquête à la demande de la justice. Selon les informations du journal "Le Parisien".
La présence de victimes françaises autorise la France à mener ses propres investigations.
La gendarmerie des transports aériens entend vérifier la véracité et l’authenticité de toutes les données techniques transmises dans ce rapport, notamment fournies par la société britannique Inmarsat, qui a réceptionné les positions transmises par le 777.
Les gendarmes veulent la source de ces données pour comprendre la trajectoire de cet appareil. Il n’est pas exclu qu’une commission rogatoire internationale les autorise à récupérer à la rentrée les données brutes transmises, précise Le Parisien.
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