Ce lundi 28 octobre, 26 Chagossiens résidant à maurice et en Angleterre voyageront jusqu’à Bahrein pour ensuite rejoindre Diego Garcia dans un avion militaire.
Une visite organisée par le gouvernement britannique qui a reçu plus d’une cinquantaine de demandes.
Deux autres visites sont prévues en décembre 2019 et en février 2020.
A noter que les Chagossiens, des Seychelles, boycottent pour la deuxième année consécutive les visites dans les îles de leurs ancêtres.
Ils avaient par ailleurs fait un appel : "Nous recommandons vivement à tous les Chagossiens de ne pas participer à la prochaine visite organisée par le gouvernement britannique et prévue pour octobre ou novembre 2019."
Pierre Prosper - président du comité - a déclaré : «Nous demandons également aux Chagossiens de boycotter les futures visites financées par le fonds de soutien alloué pour améliorer les conditions de vie des Chagossiens» et d'ajouter : «Nous demandons au gouvernement britannique de ne pas utiliser le fonds de soutien pour les visites du patrimoine. Les visites devraient être payées par un fonds séparé. "
En 2016, le gouvernement britannique a annoncé qu'une enveloppe d'environ 40 millions de livres sterling (près de 50 millions de dollars) serait mise à disposition pour les dix prochaines années afin de financer l'amélioration des moyens de subsistance des Chagossian dans les communautés où ils vivent.
2 000 Chagossiens ont été forcés de quitter leurs îles.
Environ 2 000 Chagossiens ont été expulsés de force de l'archipel des Chagos dans l'océan Indien en 1960, après que le Royaume-Uni eut loué l'île principale, Diego Garcia, aux États-Unis pour l'utiliser comme base militaire.
Rappelons que dans un vote écrasant en faveur des droits des Chagossiens, l'Assemblée générale des Nations-Unis a voté par 116 voix contre 6, condamnant ainsi l'occupation britannique des îles Chagos, une défaite diplomatique cinglante pour le Royaume-Uni.
Le vote était en faveur d'une motion fixant un délai de six mois au Royaume-Uni pour se retirer de la chaîne d'île des Chagos et à la réunification des îles avec l'île Maurice voisine, selon le journal Guardian.
Une visite organisée par le gouvernement britannique qui a reçu plus d’une cinquantaine de demandes.
Deux autres visites sont prévues en décembre 2019 et en février 2020.
A noter que les Chagossiens, des Seychelles, boycottent pour la deuxième année consécutive les visites dans les îles de leurs ancêtres.
Ils avaient par ailleurs fait un appel : "Nous recommandons vivement à tous les Chagossiens de ne pas participer à la prochaine visite organisée par le gouvernement britannique et prévue pour octobre ou novembre 2019."
Pierre Prosper - président du comité - a déclaré : «Nous demandons également aux Chagossiens de boycotter les futures visites financées par le fonds de soutien alloué pour améliorer les conditions de vie des Chagossiens» et d'ajouter : «Nous demandons au gouvernement britannique de ne pas utiliser le fonds de soutien pour les visites du patrimoine. Les visites devraient être payées par un fonds séparé. "
En 2016, le gouvernement britannique a annoncé qu'une enveloppe d'environ 40 millions de livres sterling (près de 50 millions de dollars) serait mise à disposition pour les dix prochaines années afin de financer l'amélioration des moyens de subsistance des Chagossian dans les communautés où ils vivent.
2 000 Chagossiens ont été forcés de quitter leurs îles.
Environ 2 000 Chagossiens ont été expulsés de force de l'archipel des Chagos dans l'océan Indien en 1960, après que le Royaume-Uni eut loué l'île principale, Diego Garcia, aux États-Unis pour l'utiliser comme base militaire.
Rappelons que dans un vote écrasant en faveur des droits des Chagossiens, l'Assemblée générale des Nations-Unis a voté par 116 voix contre 6, condamnant ainsi l'occupation britannique des îles Chagos, une défaite diplomatique cinglante pour le Royaume-Uni.
Le vote était en faveur d'une motion fixant un délai de six mois au Royaume-Uni pour se retirer de la chaîne d'île des Chagos et à la réunification des îles avec l'île Maurice voisine, selon le journal Guardian.