On verra jusqu’où ira cette affaire ! Dev Sunnasy et Ivor Tan Yan, au nom de 100% Citoyens, contestent les résultats des dernières élections sur une base constitutionnelle.
Me Neelkanth Dulloo, l’avocat de Dev Sunnasy, a déclaré à l’issue de l’audience que la question tournera autour des droits de ses clients. Il a ajouté qu’il y a 4 plaignante dans cette affaire ainsi que 6 défendeurs, soit l’État, l’Electoral Supervisory Commission, le bureau du commissaire électoral, le State Informatics Limited, la Mauritius Broadcasting Authority et l’Independent Broadcasting Authority.
Lors de la séance d’hier, a souligné Me Neelkanth Dulloo, les avocats de L’Electoral Supervisory Commission ont contesté la démarche des plaignant. Ils arguent que la voie choisie, c’est-à-dire constitutionnelle, n’est pas la bonne et qu’il aurait fallu passer par la Representation of People’s Act. « Nous sommes dans l’attente. L’affaire va reprendre fin juin. Nous allons soumettre nos représentations », a déclaré Me Neelkanth Dulloo, l’avocat de Dev Sunnasy.
Me Neelkanth Dulloo, l’avocat de Dev Sunnasy, a déclaré à l’issue de l’audience que la question tournera autour des droits de ses clients. Il a ajouté qu’il y a 4 plaignante dans cette affaire ainsi que 6 défendeurs, soit l’État, l’Electoral Supervisory Commission, le bureau du commissaire électoral, le State Informatics Limited, la Mauritius Broadcasting Authority et l’Independent Broadcasting Authority.
Lors de la séance d’hier, a souligné Me Neelkanth Dulloo, les avocats de L’Electoral Supervisory Commission ont contesté la démarche des plaignant. Ils arguent que la voie choisie, c’est-à-dire constitutionnelle, n’est pas la bonne et qu’il aurait fallu passer par la Representation of People’s Act. « Nous sommes dans l’attente. L’affaire va reprendre fin juin. Nous allons soumettre nos représentations », a déclaré Me Neelkanth Dulloo, l’avocat de Dev Sunnasy.
Sunnasy : « Il y avait beaucoup d’hommes en noir »
Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’une nouvelle version de la chanson de Patricia Kaas. Non, Dev Sunnasy ne va pas changer : « les hommes (de loi) qui passent maman ! » Difficile de penser qu’il aimerait « en voler un pour un mois… pour un an ». En tout cas, c’est assez rigolo que Dev Sunnasy se soit étonné d’avoir vu beaucoup d’avocats en cour suprême. « Dans la cour, il y avait une certaine quantité d’hommes en noir. Il y en avait plus de 20 », a-t-il déclaré en souriant. Bon, s’étonner de voir des avocats dans une cour de justice, c’est un peu comme s’étonner de voir des Noirs en Afrique ou des Amérindiens en Amérique latine. Sur une note plus sérieuse, Dev Sunnasy a déclaré que dans d’autres pays, ce genre d’action qu’il a initiée avec Ivor Tan Yan aurait été considéré comme prioritaire par la justice. Mais bon, la justice est mauricienne !
Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’une nouvelle version de la chanson de Patricia Kaas. Non, Dev Sunnasy ne va pas changer : « les hommes (de loi) qui passent maman ! » Difficile de penser qu’il aimerait « en voler un pour un mois… pour un an ». En tout cas, c’est assez rigolo que Dev Sunnasy se soit étonné d’avoir vu beaucoup d’avocats en cour suprême. « Dans la cour, il y avait une certaine quantité d’hommes en noir. Il y en avait plus de 20 », a-t-il déclaré en souriant. Bon, s’étonner de voir des avocats dans une cour de justice, c’est un peu comme s’étonner de voir des Noirs en Afrique ou des Amérindiens en Amérique latine. Sur une note plus sérieuse, Dev Sunnasy a déclaré que dans d’autres pays, ce genre d’action qu’il a initiée avec Ivor Tan Yan aurait été considéré comme prioritaire par la justice. Mais bon, la justice est mauricienne !
