Le fameux complexe dont Pravind Jugnauth est si fier n’a rapporté que Rs 16,7 millions en 2022. C’est peu… très peu pour un stade supposément du niveau olympique.
Rappelons que le Côte d’Or National Sports Complex a coûté Rs 3,9 milliards. Donc, permettre à l’État d’engranger Rs 1,4 million seulement par mois, c’est des cacahuètes, comme dirait l’autre.
Côte d’Or. Une circonscription pas comme les autres qui s'apparente à un royaume pour la mégalomanie du petit prince du jour. A chaque présentation du Budget, des annonces farfelues comme le projet de Côte-d’Or City, Côte-d’Or Industrial Park, création d’un «education hub», académie de football avec le soutien du club de Liverpool, Smart City, Palais des Arts et de la Culture, Medical Hub,
Police Training Academy, hippodrome...et bientôt un immeuble de 50 étages qui appartiendra à l'Etat mauricien dans 30 ans !
A chaque fois que les membres de l'opposition réclament la transparence pour éviter de nouveaux déboires, à chaque fois, Pravind Jugnauth clame prendre des décisions dans l'intérêt supérieur du pays, sans atteindre toutefois les objectifs qu'il s'était fixés. Les pouvoirs publics ont du mal à évaluer le risque financier, tant l'opacité règne
Rappelons que le Côte d’Or National Sports Complex a coûté Rs 3,9 milliards. Donc, permettre à l’État d’engranger Rs 1,4 million seulement par mois, c’est des cacahuètes, comme dirait l’autre.
Côte d’Or. Une circonscription pas comme les autres qui s'apparente à un royaume pour la mégalomanie du petit prince du jour. A chaque présentation du Budget, des annonces farfelues comme le projet de Côte-d’Or City, Côte-d’Or Industrial Park, création d’un «education hub», académie de football avec le soutien du club de Liverpool, Smart City, Palais des Arts et de la Culture, Medical Hub,
Police Training Academy, hippodrome...et bientôt un immeuble de 50 étages qui appartiendra à l'Etat mauricien dans 30 ans !
A chaque fois que les membres de l'opposition réclament la transparence pour éviter de nouveaux déboires, à chaque fois, Pravind Jugnauth clame prendre des décisions dans l'intérêt supérieur du pays, sans atteindre toutefois les objectifs qu'il s'était fixés. Les pouvoirs publics ont du mal à évaluer le risque financier, tant l'opacité règne