Le leader du Reform Party, Roshi Bhadain a indiqué, en conférence de presse jeudi qu’il a alerté le Premier ministre sur un cas de corruption impliquant quatre personnes, dont un ministre. Il affirme qu’il a beaucoup de détails sur l’affaire, qu’il a d’ailleurs fait parvenir au chef du gouvernement par le biais d’un intermédiaire.
Roshi Bhadain a expliqué qu’il a décidé d’informer le Premier ministre, puis les médias, pour plusieurs raisons. D’abord, parce que le paiement d’une rétro-commission de Rs 27 millions n’a pas encore été effectué. Ensuite, pour donner l’occasion au Premier ministre de montrer qu’il ne plaisante pas lorsqu’il prétend qu’il va combattre la corruption. Enfin, parce qu’en rendant la chose publique, il va forcer le chef du gouvernement à agir.
La stratégie de Roshi Bhadain peut surprendre. Certes, il donne la possibilité au Premier ministre de faire capoter le paiement d’une rétro-commission mais il lui permet aussi et surtout de sauver le ministre impliqué. D’ailleurs, en rendant tout public, Roshi Bhadain a certainement fait capoter la transaction. On voit mal le ministre accepter la commission.
Ce qui est bizarre dans l’histoire, c’est que si le réseau de Roshi Bhadain est suffisamment grand pour qu’il soit informé qu’une firme est sur le point de payer une rétro-commission, il lui est plus facile d’avoir des preuves du paiement. C’est plus facile de prouver quelque chose qui est fait que l’intention de faire quelque chose.
À moins que Roshi Bhadain ne garde un joker dans sa manche. Un joker dans cette affaire ! Ou alors un joker politique ! Car pour l’instant, son jeu de cartes n’est pas si attrayant que cela. En tout cas, ça sent un drôle de parfum… pour ne dire une drôle d’odeur !
Roshi Bhadain a expliqué qu’il a décidé d’informer le Premier ministre, puis les médias, pour plusieurs raisons. D’abord, parce que le paiement d’une rétro-commission de Rs 27 millions n’a pas encore été effectué. Ensuite, pour donner l’occasion au Premier ministre de montrer qu’il ne plaisante pas lorsqu’il prétend qu’il va combattre la corruption. Enfin, parce qu’en rendant la chose publique, il va forcer le chef du gouvernement à agir.
La stratégie de Roshi Bhadain peut surprendre. Certes, il donne la possibilité au Premier ministre de faire capoter le paiement d’une rétro-commission mais il lui permet aussi et surtout de sauver le ministre impliqué. D’ailleurs, en rendant tout public, Roshi Bhadain a certainement fait capoter la transaction. On voit mal le ministre accepter la commission.
Ce qui est bizarre dans l’histoire, c’est que si le réseau de Roshi Bhadain est suffisamment grand pour qu’il soit informé qu’une firme est sur le point de payer une rétro-commission, il lui est plus facile d’avoir des preuves du paiement. C’est plus facile de prouver quelque chose qui est fait que l’intention de faire quelque chose.
À moins que Roshi Bhadain ne garde un joker dans sa manche. Un joker dans cette affaire ! Ou alors un joker politique ! Car pour l’instant, son jeu de cartes n’est pas si attrayant que cela. En tout cas, ça sent un drôle de parfum… pour ne dire une drôle d’odeur !
