Une seule personne peut déclencher une guerre. Mais une fois qu’elle est déclarée, il est difficile d’y mettre fin. De plus, on ne sait jamais la tournure que cela peut prendre.
Le conflit entre le Commissaire de police et le Directeur des poursuites a débordé sur d’autres affaires, notamment celle impliquant l’Icac et Chavan Dabeedin. La commission de Navin Beekharry conteste la décision du tribunal de Rose-Hill de rayer l’accusation provisoire logée contre Chavan Dabeedin, haut cadre du CEB. Cela, dans le cadre de l’enquête sur l’affaire St Louis. Mais dans cette affaire, le commissaire de police et le directeur des poursuites publiques, qui sont les codéfendeurs, sont représentés par un membre du bureau du DPP.
C’est l’Icac qui a attiré l’attention du juge sur ce détail. D’autant que les autres parties ne trouvent pas qu’il y ait un problème. Mais le représentant de l’Icac a indiqué que suite à ce conflit et au fait que le CP accuse le DPP d’avoir outrepassé ses pouvoirs constitutionnels, il y a possibilité de conflit qu’il soit représenté par le DPP dans cette affaire. Pour l’Icac, c’est une question d’intérêt public. Elle souhaite que le CP vienne expliquer qu’il est toujours d’accord d’être représenté par le DPP et que le représentant du DPP vienne expliquer qu’il n’y a pas de problème au niveau éthique qu’il représente les deux parties qui sont en guerre. Le juge Iqbal Maghooa a ajouté l’affaire au mardi 21 mars afin que les deux parties mises en cause puissent pouvoir s’expliquer.
Le conflit entre le Commissaire de police et le Directeur des poursuites a débordé sur d’autres affaires, notamment celle impliquant l’Icac et Chavan Dabeedin. La commission de Navin Beekharry conteste la décision du tribunal de Rose-Hill de rayer l’accusation provisoire logée contre Chavan Dabeedin, haut cadre du CEB. Cela, dans le cadre de l’enquête sur l’affaire St Louis. Mais dans cette affaire, le commissaire de police et le directeur des poursuites publiques, qui sont les codéfendeurs, sont représentés par un membre du bureau du DPP.
C’est l’Icac qui a attiré l’attention du juge sur ce détail. D’autant que les autres parties ne trouvent pas qu’il y ait un problème. Mais le représentant de l’Icac a indiqué que suite à ce conflit et au fait que le CP accuse le DPP d’avoir outrepassé ses pouvoirs constitutionnels, il y a possibilité de conflit qu’il soit représenté par le DPP dans cette affaire. Pour l’Icac, c’est une question d’intérêt public. Elle souhaite que le CP vienne expliquer qu’il est toujours d’accord d’être représenté par le DPP et que le représentant du DPP vienne expliquer qu’il n’y a pas de problème au niveau éthique qu’il représente les deux parties qui sont en guerre. Le juge Iqbal Maghooa a ajouté l’affaire au mardi 21 mars afin que les deux parties mises en cause puissent pouvoir s’expliquer.
