C’est ce qui s’appelle être frappés de plein fouet ! Statistics Mauritius et la Banque mondiale ont entrepris une étude rapide, faite au téléphone, pour avoir une idée des effets socioéconomiques de la pandémie Covid-19 sur les ménages mauriciens sur la période mai à juillet 2020.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les ménages mauriciens ont été durement touchés. Ainsi, à mai 2020, dans un ménage sur 5, les membres n’ont pu se procurer les produits alimentaires de première nécessité depuis le début du confinement.
De plus, un ménage sur trois a enregistré une baisse de revenus depuis le confinement.
Autres informations : dans environ 17% des ménages, les membres ont sauté un repas depuis le début du confinement et dans 3% des ménages, au moins un membre est resté sans nourriture pendant 24 heures.
Côté positif : les membres dans plus de 71% des ménages ont pu accéder à des traitements médicaux et les enfants dans environ 85% des ménages ont pu poursuivre le programme scolaire.
Mais le plus important, c’est que le nombre de personnes en situation d’emploi a considérablement diminué. La baisse est de 24 % soit 129 400 en moins. D’ailleurs, à mai 2020, le nombre de personnes ayant un emploi est estimé à 405 400. C’est surtout dans le secteur informel que la crise se fait davantage sentir. Environ 69% des personnes qui ont perdu leur emploi étaient dans ce secteur.
Rappelons que le nombre d’individus inactifs, soit âges entre 16 et 64 ans et qui n’étudient pas, est passé de 205 100 à 336 900 à mai 2020.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les ménages mauriciens ont été durement touchés. Ainsi, à mai 2020, dans un ménage sur 5, les membres n’ont pu se procurer les produits alimentaires de première nécessité depuis le début du confinement.
De plus, un ménage sur trois a enregistré une baisse de revenus depuis le confinement.
Autres informations : dans environ 17% des ménages, les membres ont sauté un repas depuis le début du confinement et dans 3% des ménages, au moins un membre est resté sans nourriture pendant 24 heures.
Côté positif : les membres dans plus de 71% des ménages ont pu accéder à des traitements médicaux et les enfants dans environ 85% des ménages ont pu poursuivre le programme scolaire.
Mais le plus important, c’est que le nombre de personnes en situation d’emploi a considérablement diminué. La baisse est de 24 % soit 129 400 en moins. D’ailleurs, à mai 2020, le nombre de personnes ayant un emploi est estimé à 405 400. C’est surtout dans le secteur informel que la crise se fait davantage sentir. Environ 69% des personnes qui ont perdu leur emploi étaient dans ce secteur.
Rappelons que le nombre d’individus inactifs, soit âges entre 16 et 64 ans et qui n’étudient pas, est passé de 205 100 à 336 900 à mai 2020.
