Il ne manquait que sa voix. Le spectre du litre d’essence à plus de Rs 60 plane sur les automobilistes. Beaucoup de ceux qui connaissent le sujet ont évoqué le nombre ahurissant de taxes sur chaque litre de carburant. Il ne manquait que Rama Sithanen pour intervenir sur le sujet. Ben, c’est fait.
Cette semaine, l’économiste et ancien ministre des Finances est intervenu dans un média pour proposer que le gouvernement revoie la structure des prix et enlèvent certaines taxes. Lesquelles par exemple ? « Celle concernant l’achat des vaccins », a proposé Rama Sithanen.
L’ancien ministre a indiqué qu’en ces temps difficile, le gouvernement se doit d’intervenir. Mais il laisse entendre que cela sera compliqué. Car le gouvernement a déjà puisé des fonds de la State Trading Corporation pour l’achat de médicaments durant le premier confinement. C’était davantage pour récompenser les proches du régime, qu’ils soient propriétaires de quincailleries et autres bijouteries. Puis, il a fallu utiliser l’argent de la STC une seconde fois pour payer Betamax. Cela, pour une connerie du gouvernement qui, en voulant décapiter les Bhunjun trop vite, a tiré une balle dans le pied de la population.
Cette semaine, l’économiste et ancien ministre des Finances est intervenu dans un média pour proposer que le gouvernement revoie la structure des prix et enlèvent certaines taxes. Lesquelles par exemple ? « Celle concernant l’achat des vaccins », a proposé Rama Sithanen.
L’ancien ministre a indiqué qu’en ces temps difficile, le gouvernement se doit d’intervenir. Mais il laisse entendre que cela sera compliqué. Car le gouvernement a déjà puisé des fonds de la State Trading Corporation pour l’achat de médicaments durant le premier confinement. C’était davantage pour récompenser les proches du régime, qu’ils soient propriétaires de quincailleries et autres bijouteries. Puis, il a fallu utiliser l’argent de la STC une seconde fois pour payer Betamax. Cela, pour une connerie du gouvernement qui, en voulant décapiter les Bhunjun trop vite, a tiré une balle dans le pied de la population.
