Ce n’est pas une nouveauté… malheureusement. Les ouvriers Bangladais, une fois leur contrat expiré ou non-renouvelé, veulent prolonger leur séjour à Maurice. Non pas pour se balader… mais davantage pour travailler et ramasser de l’argent.
Ainsi, depuis la semaine dernière, 7 Bangladais se promènent sont recherchés. Ils travaillaient pour une société de construction et comme leur contrat a pris fin, ils devaient quitter le pays le 6 juin. Mais ils avaient d’autres projets en tête. 7 membres du groupe de 8, ont pris la poudre d’escampette. Ils sont âgés entre 26 et 38 ans et résidaient dans un dortoir à Cap Malheureux.
L’inspectorat du travail et la police ont été alertés. L’histoire ne dit pas si, à l’instar du chanteur Sting, ils fredonnent « I’m a Bangladeshi in Mauritius » dans les rues de l’île.
Ainsi, depuis la semaine dernière, 7 Bangladais se promènent sont recherchés. Ils travaillaient pour une société de construction et comme leur contrat a pris fin, ils devaient quitter le pays le 6 juin. Mais ils avaient d’autres projets en tête. 7 membres du groupe de 8, ont pris la poudre d’escampette. Ils sont âgés entre 26 et 38 ans et résidaient dans un dortoir à Cap Malheureux.
L’inspectorat du travail et la police ont été alertés. L’histoire ne dit pas si, à l’instar du chanteur Sting, ils fredonnent « I’m a Bangladeshi in Mauritius » dans les rues de l’île.