Prévisible et sans surprise ! Alors que l'île Maurice se vante d'être un des pays les plus vaccinés au monde, l'épidémie de Covid-19 explose depuis plusieurs semaines.
Avec plus de 80 % des adultes vaccinés avec les deux doses, le pays a bénéficié du vaccin chinois Sinopharm, des doses du vaccin d'AstraZeneca, fabriquées en Inde (baptisé Covishield), du Spoutnik V entre autres. Des doutes subsistent sur l'efficacité suffisante du vaccin chinois Sinopharm, ce qui avait poussé les Seychelles depuis septembre dernier à vacciner sa population uniquement avec du Pfizer pour le booster dose.
Ce vendredi 19 novembre, après un lourd bilan humain (86 décès en une semaine), le ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal a annoncé que le comité mauricien de la vaccination présidé par Zouberr Joomaye, conseiller bénévole au Bureau du Premier ministre, a validé l'administration du vaccin Pfizer comme troisième dose et qui se fera par phases.
Le ministre de la Santé a annoncé que le personnel de santé, qu’il soit du public ou du privé, recevra du Pfizer comme booster dose. Il en sera de même pour d’autres catégories de personnes considérées comme étant à haut risque. La priorité étant donnée aux enfants âgés de 12 à 27 ans auxquels leurs parents ont consenti à ce qu'ils soient vaccinés. Ceci sera suivi par la phase deux qui couvrira principalement l'administration de doses de rappel aux citoyens les plus vulnérables ou souffrant de problèmes de santé sous-jacents.
Il s’agit de patients ayant subi une transplantation d’organes ou souffrant d’un cancer. Quant aux autres personnes, elles recevront du Johnson & Johnson comme dose de rappel. Cela signifie que le vaccin Sinopharm ne sera plus utilisé comme booster dose.
Kailesh Jagutpal a expliqué que ce changement de protocole découle de la réception de 107 000 doses de Pfizer (un don du gouvernement des États-Unis dans le cadre du programme COVAX) et de la réception prochaine de 207 000 doses.
Avec plus de 80 % des adultes vaccinés avec les deux doses, le pays a bénéficié du vaccin chinois Sinopharm, des doses du vaccin d'AstraZeneca, fabriquées en Inde (baptisé Covishield), du Spoutnik V entre autres. Des doutes subsistent sur l'efficacité suffisante du vaccin chinois Sinopharm, ce qui avait poussé les Seychelles depuis septembre dernier à vacciner sa population uniquement avec du Pfizer pour le booster dose.
Ce vendredi 19 novembre, après un lourd bilan humain (86 décès en une semaine), le ministre de la Santé, Kailesh Jagutpal a annoncé que le comité mauricien de la vaccination présidé par Zouberr Joomaye, conseiller bénévole au Bureau du Premier ministre, a validé l'administration du vaccin Pfizer comme troisième dose et qui se fera par phases.
Le ministre de la Santé a annoncé que le personnel de santé, qu’il soit du public ou du privé, recevra du Pfizer comme booster dose. Il en sera de même pour d’autres catégories de personnes considérées comme étant à haut risque. La priorité étant donnée aux enfants âgés de 12 à 27 ans auxquels leurs parents ont consenti à ce qu'ils soient vaccinés. Ceci sera suivi par la phase deux qui couvrira principalement l'administration de doses de rappel aux citoyens les plus vulnérables ou souffrant de problèmes de santé sous-jacents.
Il s’agit de patients ayant subi une transplantation d’organes ou souffrant d’un cancer. Quant aux autres personnes, elles recevront du Johnson & Johnson comme dose de rappel. Cela signifie que le vaccin Sinopharm ne sera plus utilisé comme booster dose.
Kailesh Jagutpal a expliqué que ce changement de protocole découle de la réception de 107 000 doses de Pfizer (un don du gouvernement des États-Unis dans le cadre du programme COVAX) et de la réception prochaine de 207 000 doses.