![[Budget 2020-2021] Pravind Jugnauth : « Notre priorité reste la préservation de l’emploi »](https://www.zinfos-moris.com/photo/art/grande/46398936-37085508.jpg?v=1590110969 "[Budget 2020-2021] Pravind Jugnauth : « Notre priorité reste la préservation de l’emploi »")
![[Budget 2020-2021] Pravind Jugnauth : « Notre priorité reste la préservation de l’emploi »](https://www.zinfos-moris.com/photo/art/default/46398936-37085508.jpg?v=1590110971 "[Budget 2020-2021] Pravind Jugnauth : « Notre priorité reste la préservation de l’emploi »")
Hier jeudi 21 mai, le Premier ministre est intervenu lors d'une très brève apparition sur la chaîne nationale pour déclarer que « Notre priorité reste la préservation de l’emploi, redémarrer l’investissement et les activités économiques et fixer un nouveau cap avec le prochain budget. »
Il répondait aux questions de la MBC suite à une rencontre avec le ministre des Finances, Renganaden Padayachy, sur la préparation du Budget 2020-2021. Cet exercice financier sera présenté le 4 juin prochain.
Préserver l'emploi à quel prix ? N'est-il pas grand temps que Pravind Jugnauth supprime quelques ministères superflus au sein de son gouvernement tout comme les salaires des députés et son salaire ?
Malgré les trois jours de consultations pré-budgétaires, les caisses de l'Etat sont vides et les scandales politico-financiers n'aident pas à créer la confiance. Le défi sera grand afin de ne pas céder au chantage du secteur privé.
La véritable question n'est pas ce qu'attendent les Mauriciens du gouvernement mais ce que le gouvernement peut donner comme exemple pour relancer l'économie du pays.
Il répondait aux questions de la MBC suite à une rencontre avec le ministre des Finances, Renganaden Padayachy, sur la préparation du Budget 2020-2021. Cet exercice financier sera présenté le 4 juin prochain.
Préserver l'emploi à quel prix ? N'est-il pas grand temps que Pravind Jugnauth supprime quelques ministères superflus au sein de son gouvernement tout comme les salaires des députés et son salaire ?
Malgré les trois jours de consultations pré-budgétaires, les caisses de l'Etat sont vides et les scandales politico-financiers n'aident pas à créer la confiance. Le défi sera grand afin de ne pas céder au chantage du secteur privé.
La véritable question n'est pas ce qu'attendent les Mauriciens du gouvernement mais ce que le gouvernement peut donner comme exemple pour relancer l'économie du pays.
