C’est chose faite ! Last but not least, Roshi Bhadain a déposé une demande de révision judiciaire contestant le rapport de la commission d’enquête sur la vente des actions de l’ex-BAI au sein de Britam Kenya.
On comprend le leader du Reform Party. Il a eu, au préalable, à dérouler son mètre 90 pour initier cette action en justice. Mais bon, il a juré un affidavit et déposé sa demande de révision judiciaire. Pour faire court, il réclame, tout comme bien d’autres avant lui, que le rapport Britam dans son intégralité soit déclaré nul et non avenu. Il insiste aussi qu’il n’y a jamais eu d’offre de Rs 4,3 milliards.
Roshi Bhadain soutient, comme bien d’autres avant lui, que Satar Hajee Abdoola et Bushan Domah n’ont pas enquêté de manière impartiale. Mais il est allé un peu plus loin en indiquant que leurs conclusions sont truffées de mauvaise foi et qu’ils ont déformé certains éléments. L’affaire sera appelée devant le chef juge Asraf Caunhye, le 20 septembre prochain.
On comprend le leader du Reform Party. Il a eu, au préalable, à dérouler son mètre 90 pour initier cette action en justice. Mais bon, il a juré un affidavit et déposé sa demande de révision judiciaire. Pour faire court, il réclame, tout comme bien d’autres avant lui, que le rapport Britam dans son intégralité soit déclaré nul et non avenu. Il insiste aussi qu’il n’y a jamais eu d’offre de Rs 4,3 milliards.
Roshi Bhadain soutient, comme bien d’autres avant lui, que Satar Hajee Abdoola et Bushan Domah n’ont pas enquêté de manière impartiale. Mais il est allé un peu plus loin en indiquant que leurs conclusions sont truffées de mauvaise foi et qu’ils ont déformé certains éléments. L’affaire sera appelée devant le chef juge Asraf Caunhye, le 20 septembre prochain.