Il a fait sa fête au Speaker de l’Assemblée nationale. Outre l’affaire de négociations pour l’achat d’une résidence officielle, Arvin Boolell a été jusqu’à évoquer les soucis de Sooroojdev Phokeer lorsqu’il était ambassadeur de Maurice au Caire ou alors à Washington.
C’était lors de sa conférence d’hier. Arvin Boolell a sorti l’artillerie lourde contre le Speaker de l’Assemblée nationale. C’est assez rare que le chef de file du PTr au Parlement frappe en-dessous de la ceinture. « Pour quelles raisons a-t-il été rappelé du Caire ? Il faut rappeler que suite à son rappel, en 2003, il a été nommé conseiller au ministère de l’Agro-industrie. Mais pendant combien de temps, le Premier ministre va garder un silence éloquent sur les dossiers concernant cette personne qui malheureusement ne fait pas honneur au pays. Je ne vais pas parler de ses frasques ni de ses actions dégoûtantes », a-t-il déclaré.
C’est assez facile de dire cette phrase après avoir évoqué les « frasques » en question. Sur un plan plus poli, Arvin Boolell a déclaré le Speaker « n’a compris que le Parlement est le temple de la démocratie » et qu’il est « le tout premier Speaker qui a été l’objet d’une motion de censure à peine » six mois après son élection. Et d’ajouter : « The guy must go. Le départ du Speaker a déjà été décidé par la population. »
Arvin Boolell a aussi dénoncé « la complicité » du Premier ministre dans les agissements du Speaker qui ont permis à ce dernier d’avoir un « droit à l’excès ». En fait, les allusions et références étaient légion lors de la conférence de presse.
C’était lors de sa conférence d’hier. Arvin Boolell a sorti l’artillerie lourde contre le Speaker de l’Assemblée nationale. C’est assez rare que le chef de file du PTr au Parlement frappe en-dessous de la ceinture. « Pour quelles raisons a-t-il été rappelé du Caire ? Il faut rappeler que suite à son rappel, en 2003, il a été nommé conseiller au ministère de l’Agro-industrie. Mais pendant combien de temps, le Premier ministre va garder un silence éloquent sur les dossiers concernant cette personne qui malheureusement ne fait pas honneur au pays. Je ne vais pas parler de ses frasques ni de ses actions dégoûtantes », a-t-il déclaré.
C’est assez facile de dire cette phrase après avoir évoqué les « frasques » en question. Sur un plan plus poli, Arvin Boolell a déclaré le Speaker « n’a compris que le Parlement est le temple de la démocratie » et qu’il est « le tout premier Speaker qui a été l’objet d’une motion de censure à peine » six mois après son élection. Et d’ajouter : « The guy must go. Le départ du Speaker a déjà été décidé par la population. »
Arvin Boolell a aussi dénoncé « la complicité » du Premier ministre dans les agissements du Speaker qui ont permis à ce dernier d’avoir un « droit à l’excès ». En fait, les allusions et références étaient légion lors de la conférence de presse.