C’est le moindre des délits dans cette affaire. Pour Arvin Boolell, le Premier ministre a commis une entorse au protocole diplomatique en citant le nom de Narendra Modi. « C’était un problème interne. Il n’avait pas à hisser le Premier ministre indien dans cette affaire », a-t-il déclaré.
Il a aussi condamné avec force la politique qu’il qualifie de « Big Brother is watching ». Le PTr, a-t-il déclaré, est en faveur d’une Freedom of Information Act. Il a aussi accusé Pravind Jugnauth d’avoir « rendu l’île Maurice vulnérable ». Pour lui, le pays « ne doit pas être le chokra des pays amis ». Il soutient qu’il faut « agir comme des patriotes et placer l’intérêt de la patrie au-dessus de tout ». Il a aussi fait une sortie contre le chairman de Mauritius Telecom qu’il accuse d’avoir failli à sa responsabilités.
Il a aussi condamné avec force la politique qu’il qualifie de « Big Brother is watching ». Le PTr, a-t-il déclaré, est en faveur d’une Freedom of Information Act. Il a aussi accusé Pravind Jugnauth d’avoir « rendu l’île Maurice vulnérable ». Pour lui, le pays « ne doit pas être le chokra des pays amis ». Il soutient qu’il faut « agir comme des patriotes et placer l’intérêt de la patrie au-dessus de tout ». Il a aussi fait une sortie contre le chairman de Mauritius Telecom qu’il accuse d’avoir failli à sa responsabilités.