Jamais sans mon Cadersa ! La Police Officers Solidarity Union persiste et signe.
Son président, l’inspecteur Jaylall Boojhawon, s’est rendu à la commission anticorruption ce vendredi 28 décembre afin de consigner une plainte. Celle-ci concerne le transfert du constable Cadersa de la Traffic Branch au Vacoas Detention Centre.
Pour l’inspecteur Jaylall Boojhawon, il s’agit là d’un transfert punitif. Il estime que Vijaya Samputh, proche d’Anil Gayan, serait à l’origine de cette mutation, d’autant que le constable Cadersa l’a prise en contravention à Trianon.
Mais l’ancienne directrice du centre cardiaque dément toute implication dans cette décision. Elle a même porté plainte au Central CID contre la Police Officers Solidarity Union. Cela, au lendemain d’une prise de position ferme du ministre Anil Gayan en sa faveur.
De son côté, la police reste muette sur cette décision. Mais certains hauts gradés affirment haut et fort, mais en mode off the record, que le constable Cadersa fait l’objet de plusieurs plaintes.
Ils disent attendre une interpellation sur le sujet avec impatience à la reprise des travaux parlementaires en mars 2019.
Son président, l’inspecteur Jaylall Boojhawon, s’est rendu à la commission anticorruption ce vendredi 28 décembre afin de consigner une plainte. Celle-ci concerne le transfert du constable Cadersa de la Traffic Branch au Vacoas Detention Centre.
Pour l’inspecteur Jaylall Boojhawon, il s’agit là d’un transfert punitif. Il estime que Vijaya Samputh, proche d’Anil Gayan, serait à l’origine de cette mutation, d’autant que le constable Cadersa l’a prise en contravention à Trianon.
Mais l’ancienne directrice du centre cardiaque dément toute implication dans cette décision. Elle a même porté plainte au Central CID contre la Police Officers Solidarity Union. Cela, au lendemain d’une prise de position ferme du ministre Anil Gayan en sa faveur.
De son côté, la police reste muette sur cette décision. Mais certains hauts gradés affirment haut et fort, mais en mode off the record, que le constable Cadersa fait l’objet de plusieurs plaintes.
Ils disent attendre une interpellation sur le sujet avec impatience à la reprise des travaux parlementaires en mars 2019.
