@ GIS Mauritius
Kalpana Devi Koonjoo Shah, qui avait pourtant tout pour devenir une ministre appréciée par les Mauriciens, finit comme toutes les autres, de la vulgarité sous un vernis de respectabilité.
Elle avait pourtant tout pour faire oublier l'ancien ministre Prem Koojoo qui vit d'une chiche retraite en n'ayant pas vraiment marqué, ni manqué quiconque en politique. Le père, rappelons le, a souvent été la risée pour ses déclarations farfelues sur les requins et les baleines dans les eaux mauriciennes. La fille, elle, se noie ou patauge dans un fauteuil ministériel sûrement trop grand pour elle.
Quand la ministre Kalpana Koonjoo Shah ne s'amuse pas à l'assemblée nationale, en réponse à la député du MMM Joanna Bérenger sur le Mental Health (Amendment) Bill, se pensant hors micro, de lâcher un langage digne d'une poissonnière : “Mister Speaker Sir… BOU** TO L*K* P****", elle participe à la médiocrité ambiante.
Kalpana Koonjoo-Shah s'est défendue sur les ondes des radios Lakwisin et jure de ses grands dieux ne pas avoir tenue des «propos inappropriés», parlant de «vidéo manipulée» envisageant d’initier des actions légales. Et va jusqu'à accuser «Zamé mo ti pou pansé ki l’opposition pou tomb dans enn telle bassesse (…)». Ce qui a interpellé plus d'un car comment une vidéo peut être manipulée en direct sur la chaine Parliamentary TV et retransmise sur la MBC et repris par les différents médias.
Ce dimanche, le Premier ministre Pravind Jugnauth, à l’occasion de la journée internationale des femmes, à non sans rire, fait référence à un incident dans le passé où un leader politique a insulté l’une de ses membres pour un problème de micro lors d’un rassemblement politique. « Cela démontre le caractère de cet homme », conclut le Premier ministre, qui appelle à la vigilance de la population contre ce type de « leader ». Pauvre Pra20, il devient ridicule alors que sa propre ministre a souillé l'assemblée de sa vulgarité, sans compter l'agent du MSM en la personne de Phookeer. Ce dernier, ambassadeur au Caire, dans un très grand mystère aurait été rapatrié à Maurice pour "fautes graves".
Il rabâche comme un obsédé sexuel depuis 2019. On connaissait les coups sous la ceinture en politique, on découvre l'obsession de Pravind Jugnauth pour la "braguette ouverte". Ce n'est pas la première fois que nos hommes politiques s'insultent en dessous de la ceinture, mais après le mouvement Metoo et la voix donnée aux victimes d'abus sexuels, il est difficile d'accepter que de nos jours, on puisse en tant que personnalité politique s'amuser en public, à faire des commentaires désobligeants où sont impliquées entre autres des femmes.
De quel droit, Kalpana Devi Koonjoo Shah accepte que la journée internationale des femmes vire à une politique de la braguette ouverte, en donnant la parole à un Pravind Jugnauth obsédé concernant la vie privée de l'ex- Premier ministre Navin Ramgoolam ?
Cette salve de sous-entendus, en présence de femmes et non des moindres celle de Lady Jugnauth, est choquante. Alors que le Premier ministre martèle de son côté, qu'il lui faut protéger sa famille, femme et enfants. Pourtant, Pravind Jugnauth, lors de son discours ce dimanche, en maque d'arguments, a remis sur le tapis l'épisode "Macarena" des années 2000, dans une diarrhée verbale.
Vous êtes madame la ministre ainsi que ce gouvernement, la lie de la société mauricienne !
Elle avait pourtant tout pour faire oublier l'ancien ministre Prem Koojoo qui vit d'une chiche retraite en n'ayant pas vraiment marqué, ni manqué quiconque en politique. Le père, rappelons le, a souvent été la risée pour ses déclarations farfelues sur les requins et les baleines dans les eaux mauriciennes. La fille, elle, se noie ou patauge dans un fauteuil ministériel sûrement trop grand pour elle.
Quand la ministre Kalpana Koonjoo Shah ne s'amuse pas à l'assemblée nationale, en réponse à la député du MMM Joanna Bérenger sur le Mental Health (Amendment) Bill, se pensant hors micro, de lâcher un langage digne d'une poissonnière : “Mister Speaker Sir… BOU** TO L*K* P****", elle participe à la médiocrité ambiante.
Kalpana Koonjoo-Shah s'est défendue sur les ondes des radios Lakwisin et jure de ses grands dieux ne pas avoir tenue des «propos inappropriés», parlant de «vidéo manipulée» envisageant d’initier des actions légales. Et va jusqu'à accuser «Zamé mo ti pou pansé ki l’opposition pou tomb dans enn telle bassesse (…)». Ce qui a interpellé plus d'un car comment une vidéo peut être manipulée en direct sur la chaine Parliamentary TV et retransmise sur la MBC et repris par les différents médias.
Ce dimanche, le Premier ministre Pravind Jugnauth, à l’occasion de la journée internationale des femmes, à non sans rire, fait référence à un incident dans le passé où un leader politique a insulté l’une de ses membres pour un problème de micro lors d’un rassemblement politique. « Cela démontre le caractère de cet homme », conclut le Premier ministre, qui appelle à la vigilance de la population contre ce type de « leader ». Pauvre Pra20, il devient ridicule alors que sa propre ministre a souillé l'assemblée de sa vulgarité, sans compter l'agent du MSM en la personne de Phookeer. Ce dernier, ambassadeur au Caire, dans un très grand mystère aurait été rapatrié à Maurice pour "fautes graves".
Il rabâche comme un obsédé sexuel depuis 2019. On connaissait les coups sous la ceinture en politique, on découvre l'obsession de Pravind Jugnauth pour la "braguette ouverte". Ce n'est pas la première fois que nos hommes politiques s'insultent en dessous de la ceinture, mais après le mouvement Metoo et la voix donnée aux victimes d'abus sexuels, il est difficile d'accepter que de nos jours, on puisse en tant que personnalité politique s'amuser en public, à faire des commentaires désobligeants où sont impliquées entre autres des femmes.
De quel droit, Kalpana Devi Koonjoo Shah accepte que la journée internationale des femmes vire à une politique de la braguette ouverte, en donnant la parole à un Pravind Jugnauth obsédé concernant la vie privée de l'ex- Premier ministre Navin Ramgoolam ?
Cette salve de sous-entendus, en présence de femmes et non des moindres celle de Lady Jugnauth, est choquante. Alors que le Premier ministre martèle de son côté, qu'il lui faut protéger sa famille, femme et enfants. Pourtant, Pravind Jugnauth, lors de son discours ce dimanche, en maque d'arguments, a remis sur le tapis l'épisode "Macarena" des années 2000, dans une diarrhée verbale.
Vous êtes madame la ministre ainsi que ce gouvernement, la lie de la société mauricienne !
