Il ira de l’avant avec sa Private Prosecution contre Pravind Jugnauth ! L’ultimatum qu’il avait lancé au chef du gouvernement de démissionner ayant expiré, Roshi Bhadain a affirmé sur un média qu’il va aller de l’avant avec sa Private Prosecution.
Le leader du Reform Party, est-il indiqué dans la presse, a écrit au Directeur des poursuites publiques pour obtenir son autorisation d’aller de l’avant avec ces poursuites pénales privées et l’informer qu’il est en train de rassembler les informations et éléments relatifs à cette affaire, qu’il transmettra à son bureau.
Pourquoi écrire au DPP ? Pense-t-il réellement que le DPP va lui dire ‘oui, vas-y mon grand’ ?
Rappelons que Roshi Bhadain a démoli la défense de PRavind Jugnauth, érigée vendredi dernier en conférence de presse. Il a notamment expliqué qu’il y a un rapport d’arpentage, daté de 2004, sur lequel Pravind et Kobita Jugnauth signent en tant qu’acquéreurs alors que le Premier ministre a soutenu que, concernant le terrain où il y a eu paiement de Rs 20 millions, c’est en 2008 qu’il entre en jeu. De plus, Roshi Bhadain a aussi indiqué que l’Icac a les originaux des reçus des paiements en cash par Pravind Jugnauth. En tout cas, l’affaire se complique. Le mystère s’épaissit. Il ne manque que la boule de gomme.
Le leader du Reform Party, est-il indiqué dans la presse, a écrit au Directeur des poursuites publiques pour obtenir son autorisation d’aller de l’avant avec ces poursuites pénales privées et l’informer qu’il est en train de rassembler les informations et éléments relatifs à cette affaire, qu’il transmettra à son bureau.
Pourquoi écrire au DPP ? Pense-t-il réellement que le DPP va lui dire ‘oui, vas-y mon grand’ ?
Rappelons que Roshi Bhadain a démoli la défense de PRavind Jugnauth, érigée vendredi dernier en conférence de presse. Il a notamment expliqué qu’il y a un rapport d’arpentage, daté de 2004, sur lequel Pravind et Kobita Jugnauth signent en tant qu’acquéreurs alors que le Premier ministre a soutenu que, concernant le terrain où il y a eu paiement de Rs 20 millions, c’est en 2008 qu’il entre en jeu. De plus, Roshi Bhadain a aussi indiqué que l’Icac a les originaux des reçus des paiements en cash par Pravind Jugnauth. En tout cas, l’affaire se complique. Le mystère s’épaissit. Il ne manque que la boule de gomme.
