Quand il est question du leader du PTr, l’actuel Premier ministre ne fait pas dans la dentelle. Pravind Jugnauth n’hésiterait pas à prendre le Karcher si cela était possible.
Ainsi, mardi lors de son intervention sur le Supplementary Appropriation (2020-2021) Bill, Pravind Jugnauth n’a pas raté l’occasion d’évoquer l’affaire Betamax. Et il n’est pas passé par quatre chemins pour demander quel a été le rôle de l’ancien Premier ministre, soit Navin Ramgoolam, dans le deal Betamax. Pravind Jugnauth aurait défendu la décision du gouvernement de 2015 de résilier le contrat Betamax. Il a aussi défendu la décision du gouvernement d’instituer une commission d’enquête sur le contrat alloué à Betamax.
Rappelons que le projet de loi vise à faire approuver des dépenses supplémentaires de Rs 23,6 milliards, dont Rs 4,6 milliards pour dédommager Betamax. Pour le Premier ministre, il y a plusieurs questions et zones d’ombre concernant les circonstances dans lesquelles ce contrat avait été alloué. Le leader du MSM a aussi réfuté un autre argument de l’opposition.
Pour lui, le gouvernement n’est pas en train de se constituer un butin de guerre pour les prochaines élections. « L’heure n’est pas aux législatives. Le temps viendra. Les élections ne sont pas prévues avant 2024… peut-être meme un peu plus tard. On ne sait jamais », a-t-il déclaré.
Ainsi, mardi lors de son intervention sur le Supplementary Appropriation (2020-2021) Bill, Pravind Jugnauth n’a pas raté l’occasion d’évoquer l’affaire Betamax. Et il n’est pas passé par quatre chemins pour demander quel a été le rôle de l’ancien Premier ministre, soit Navin Ramgoolam, dans le deal Betamax. Pravind Jugnauth aurait défendu la décision du gouvernement de 2015 de résilier le contrat Betamax. Il a aussi défendu la décision du gouvernement d’instituer une commission d’enquête sur le contrat alloué à Betamax.
Rappelons que le projet de loi vise à faire approuver des dépenses supplémentaires de Rs 23,6 milliards, dont Rs 4,6 milliards pour dédommager Betamax. Pour le Premier ministre, il y a plusieurs questions et zones d’ombre concernant les circonstances dans lesquelles ce contrat avait été alloué. Le leader du MSM a aussi réfuté un autre argument de l’opposition.
Pour lui, le gouvernement n’est pas en train de se constituer un butin de guerre pour les prochaines élections. « L’heure n’est pas aux législatives. Le temps viendra. Les élections ne sont pas prévues avant 2024… peut-être meme un peu plus tard. On ne sait jamais », a-t-il déclaré.
