Pour lui, c’était parfaitement justifié d’utiliser les réserves de la Banque de Maurice. Et pour cause ! Il est l’un de ceux qui dirigent l’institution en question et qui ont aidé Renganaden Padayachy à mettre la main dans les réserves.
On apprend donc dans la presse que Mardayah Kona Yerukunondu, First Deputy Governor de la Banque de Maurice, estime que sans les réserves en question, le pays ne se serait pas relevé de la pandémie. À vrai dire, on pourrait être d’accord avec lui. Sauf que, selon les économistes aujourd’hui, Maurice est en train de payer cela très cher. Mais qu’à cela ne tienne !
Bank of Mauritius : Le Bogosse, l'Inactif et l'Anguille
Pour Mardayah Kona Yerukunondu, les trois milliards de dollars ont été salutaires. Il s’est adressé aux médias après une conférence sur, entre mille choses, la gestion des risques et des réserves. Quelle ironie ! Bon, notre bon First Deputy Governor est conscient que désormais le pays doit récupérer ces trois milliards de dollars. C’est cela le problème. Car entretemps, la roupie s’est dépréciée. Et les trois milliards de dollars d’hier valent aujourd’hui près de 4,5 milliards.
On apprend donc dans la presse que Mardayah Kona Yerukunondu, First Deputy Governor de la Banque de Maurice, estime que sans les réserves en question, le pays ne se serait pas relevé de la pandémie. À vrai dire, on pourrait être d’accord avec lui. Sauf que, selon les économistes aujourd’hui, Maurice est en train de payer cela très cher. Mais qu’à cela ne tienne !
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Pour Mardayah Kona Yerukunondu, les trois milliards de dollars ont été salutaires. Il s’est adressé aux médias après une conférence sur, entre mille choses, la gestion des risques et des réserves. Quelle ironie ! Bon, notre bon First Deputy Governor est conscient que désormais le pays doit récupérer ces trois milliards de dollars. C’est cela le problème. Car entretemps, la roupie s’est dépréciée. Et les trois milliards de dollars d’hier valent aujourd’hui près de 4,5 milliards.
