
Le ministre des TIC a donné le coup d’envoi des débats sur le Cybersecurity and Cybercrime Bill hier.
Deepak Balgobin a tenu à rassurer qu’en aucun cas, les réseaux sociaux seront surveillés. Il a affirmé que ceux qui critiquent le gouvernement font dans la démagogie. Selon lui, le projet de loi vise à donner aux autorités les outils pour protéger citoyens et entreprises. D’autant, a-t-il expliqué que les crimes commis à l’aide d’un ordinateur, sont plus sophistiqués et plus nombreux. Il y en aurait 5 fois plus en 2021 qu’en 2018, a-t-il souligné en évoquant plusieurs cas récents, notamment l’affaire ‘revenge porn’ sur Telegram, la vidéo de Chachi Rubina sur Facebook et l’affaire de pédopornographie à Rodrigues.
A l'île Maurice, le retour des censeurs de la liberté d'expression
Grâce à la loi, selon Deepak Balgobin, la coopération internationale dans le cadre de la cybersécurité sera renforcée. Et le ministre d’insister que le projet de loi « respecte les droits de l’Homme », car en aucun cas, le National Cybersecurity Committee aura le pouvoir d’enquêter. Les enquêtes policières, selon le ministre, se feront en toute indépendance. Ce qui n’était peut-être pas une phrase à dire !
Des accusations d'harcèlement sexuels alléguées refont surface concernant Deepak Balgobin.
Le ministre a aussi accusé les membres de l’opposition d’induire la population en erreur concernant la clause sur les faux profiles. « Nous voulons protéger la population contre les gens qui se cachent derrière de faux profils pour faire des actes malveillants », a-t-il souligné. Il balaie d’un revers de la main les critiques disant que la clause sur la modération sur les réseaux sociaux va à l’encontre de la liberté d’expression. La loi, insiste-t-il, explique quels sont les commentaires problématiques.
Pour Deepak Balgobin, le Cybersecurity and Cybercrime Bill vise à mieux combattre la cybercriminalité, renforcer la cyber résilience et renforcer la coopération internationale. À quel point aura-t-il convaincu ?
Deepak Balgobin a tenu à rassurer qu’en aucun cas, les réseaux sociaux seront surveillés. Il a affirmé que ceux qui critiquent le gouvernement font dans la démagogie. Selon lui, le projet de loi vise à donner aux autorités les outils pour protéger citoyens et entreprises. D’autant, a-t-il expliqué que les crimes commis à l’aide d’un ordinateur, sont plus sophistiqués et plus nombreux. Il y en aurait 5 fois plus en 2021 qu’en 2018, a-t-il souligné en évoquant plusieurs cas récents, notamment l’affaire ‘revenge porn’ sur Telegram, la vidéo de Chachi Rubina sur Facebook et l’affaire de pédopornographie à Rodrigues.
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Grâce à la loi, selon Deepak Balgobin, la coopération internationale dans le cadre de la cybersécurité sera renforcée. Et le ministre d’insister que le projet de loi « respecte les droits de l’Homme », car en aucun cas, le National Cybersecurity Committee aura le pouvoir d’enquêter. Les enquêtes policières, selon le ministre, se feront en toute indépendance. Ce qui n’était peut-être pas une phrase à dire !
Des accusations d'harcèlement sexuels alléguées refont surface concernant Deepak Balgobin.
Le ministre a aussi accusé les membres de l’opposition d’induire la population en erreur concernant la clause sur les faux profiles. « Nous voulons protéger la population contre les gens qui se cachent derrière de faux profils pour faire des actes malveillants », a-t-il souligné. Il balaie d’un revers de la main les critiques disant que la clause sur la modération sur les réseaux sociaux va à l’encontre de la liberté d’expression. La loi, insiste-t-il, explique quels sont les commentaires problématiques.
Pour Deepak Balgobin, le Cybersecurity and Cybercrime Bill vise à mieux combattre la cybercriminalité, renforcer la cyber résilience et renforcer la coopération internationale. À quel point aura-t-il convaincu ?