Vendredi 1er janvier, peu avant 22 h 30, des coups de feu éclatent au pied d’un quartier à Baie-du-Tombeau. Des blessés si on en croit les différents témoignages et une nouvelle escalade de la violence dans ce quartier gangrené par le trafic de drogues. « La guerre des gangs », résume les habitants qui évoquent « une lutte de territoires pour un point de deal très lucratif. »
Gros trafiquants et guetteurs
De gros trafiquants se sont installés dans une partie de ce quartier relativement calme devenant un « supermarché de la drogue ». Embauchant au passage des adolescents du quartier pour tenir les rôles de guetteurs. Cocaïne, ecstasy, héroïne, cannabis… Tout y est, et les consommateurs viennent de toute part pour s’approvisionner.
Violences, règlement de comptes
Les habitants racontent des scènes à peine croyable de violences et de règlement de comptes. Certains du quartier veulent partir alors que la situation se dégrade sans que la police ne s'y aventure.
Sentiment d’abandon
Les habitants qui tentent de résister subissent des intimidations de la part des caïds connus des services de police. Des bagarres éclatent également en pleine journée. « Ils sont terrorisés et se sentent abandonnés. » Vendredi soir, une voiture a été incendiée. Des coups de feu ont été tirés mais aucune plainte n'a été enregistrée par peur des représailles.
La police déclare pour sa part ne pas être courant de tels incidents.
Gros trafiquants et guetteurs
De gros trafiquants se sont installés dans une partie de ce quartier relativement calme devenant un « supermarché de la drogue ». Embauchant au passage des adolescents du quartier pour tenir les rôles de guetteurs. Cocaïne, ecstasy, héroïne, cannabis… Tout y est, et les consommateurs viennent de toute part pour s’approvisionner.
Violences, règlement de comptes
Les habitants racontent des scènes à peine croyable de violences et de règlement de comptes. Certains du quartier veulent partir alors que la situation se dégrade sans que la police ne s'y aventure.
Sentiment d’abandon
Les habitants qui tentent de résister subissent des intimidations de la part des caïds connus des services de police. Des bagarres éclatent également en pleine journée. « Ils sont terrorisés et se sentent abandonnés. » Vendredi soir, une voiture a été incendiée. Des coups de feu ont été tirés mais aucune plainte n'a été enregistrée par peur des représailles.
La police déclare pour sa part ne pas être courant de tels incidents.