Du béton sur une partie de la plage de Baie-du-Tombeau !
Les pêcheurs, du moins ceux de l’Asosiasyon Peser Profesionel e Artizanal, sont furax. Ils dénoncent le fait, disent-ils, qu’il leur a été interdit de mouiller leurs pirogues à cet endroit précis. Ça c’est leur première récrimination.
La seconde : ils sont traités sans ménagement par les policiers qui sont de faction devant le bungalow de sir Anerood Jugnauth, qui se trouve à proximité. Ce syndicat de pêcheurs a effectué une visite des lieux samedi. Atma Shanto, leur négociateur, dit ne pas comprendre comment les autorités ont pu « combler la mer et bétonner la plage ».
Rappelons que ce sont surtout les pêcheurs de Baie-du-Tombeau mais aussi de Roche Bois qui opèrent là-bas. Le syndicat réclame l’arrêt des travaux qui provoque de sérieux désagréments pour les hommes de la mer, qui ne peuvent venir chercher des appâts à proximité et amarrer leurs pirogues dans la région.
Ces travaux ont démarré depuis l’année dernière. Des réunions avaient eu lieu entre l’État et les pêcheurs, après que ces derniers aient organisé une manifestation, mais un consensus n’a jamais pu être trouvé.
Les pêcheurs, du moins ceux de l’Asosiasyon Peser Profesionel e Artizanal, sont furax. Ils dénoncent le fait, disent-ils, qu’il leur a été interdit de mouiller leurs pirogues à cet endroit précis. Ça c’est leur première récrimination.
La seconde : ils sont traités sans ménagement par les policiers qui sont de faction devant le bungalow de sir Anerood Jugnauth, qui se trouve à proximité. Ce syndicat de pêcheurs a effectué une visite des lieux samedi. Atma Shanto, leur négociateur, dit ne pas comprendre comment les autorités ont pu « combler la mer et bétonner la plage ».
Rappelons que ce sont surtout les pêcheurs de Baie-du-Tombeau mais aussi de Roche Bois qui opèrent là-bas. Le syndicat réclame l’arrêt des travaux qui provoque de sérieux désagréments pour les hommes de la mer, qui ne peuvent venir chercher des appâts à proximité et amarrer leurs pirogues dans la région.
Ces travaux ont démarré depuis l’année dernière. Des réunions avaient eu lieu entre l’État et les pêcheurs, après que ces derniers aient organisé une manifestation, mais un consensus n’a jamais pu être trouvé.
