Le mauricien Raj Gaya occupait depuis 1999 différentes fonctions au sein de la Fédération mondiale de badminton, de la Confédération africaine de badminton et de la Mauritius Badminton Association (MBA).
Le comité d’audience sur l’éthique de la BWF a ouvert une enquête sur ce responsable en juin dernier après un rapport accablant de corruption à son encontre. L’ancien président de l’AMB, Bashir Mungroo, avait également fait «plusieurs allégations» de corruption contre lui.
L'enquête avait révélé que Raj Gaya avait utilisé des fonds destinés au MBA sur son compte bancaire personnel et avait falsifié des demandes de remboursement, ainsi que des documents officiels tout en refusant de coopérer à l’enquête.
La commission de trois membres présidée par Sylvia Schenk, il y a deux semaines, avait déclaré qu’elle interdirait à Gaya « d’exercer toute fonction de badminton à vie » et lui a ordonné de payer une amende de 50 000 dollars, une décision confirmée par la Badminton World Federation (BWF).
Le comité d’audience sur l’éthique de la BWF a ouvert une enquête sur ce responsable en juin dernier après un rapport accablant de corruption à son encontre. L’ancien président de l’AMB, Bashir Mungroo, avait également fait «plusieurs allégations» de corruption contre lui.
L'enquête avait révélé que Raj Gaya avait utilisé des fonds destinés au MBA sur son compte bancaire personnel et avait falsifié des demandes de remboursement, ainsi que des documents officiels tout en refusant de coopérer à l’enquête.
La commission de trois membres présidée par Sylvia Schenk, il y a deux semaines, avait déclaré qu’elle interdirait à Gaya « d’exercer toute fonction de badminton à vie » et lui a ordonné de payer une amende de 50 000 dollars, une décision confirmée par la Badminton World Federation (BWF).