Utilisant tantôt l’humour et tantôt l’ironie, Paul Bérenger a dénoncé la façon dont le directeur de l’Audit a été nommé. « Ils ne respectent même pas ce que prévoit la Constitution. Celle-ci prévoit que le président de la Public Service Commission consulte le Premier ministre et le leader de l’opposition.
« Mais ils sont tellement bêtes et grossiers. Le président de la Public Service Commission affirme dans une lettre que c’est le Secrétaire au Cabinet qui a proposé tel nom. C’est un manque de respect à notre Constitution », a-t-il affirmé. Et d’ajouter qu’on « se débarrasse d’un Directeur de l’Audit respectable » afin de porter atteinte à un poste constitutionnel.
À l’heure des questions, il a déclaré qu’il ne faut pas sous-estimer l’importance de ce qui se passe. « La PSC doit chercher le meilleur candidat et faire une recommandation. Mais cet imbécile met sur papier ce qui s’est passé », a-t-il affirmé. Il a aussi laissé entendre que l’ancien directeur de l’Audit, tout comme la Clerk de l’Assemblée nationale, ne sont pas parties pour des raisons familiales ou personnelles comme ils le prétendent.
« Mais ils sont tellement bêtes et grossiers. Le président de la Public Service Commission affirme dans une lettre que c’est le Secrétaire au Cabinet qui a proposé tel nom. C’est un manque de respect à notre Constitution », a-t-il affirmé. Et d’ajouter qu’on « se débarrasse d’un Directeur de l’Audit respectable » afin de porter atteinte à un poste constitutionnel.
À l’heure des questions, il a déclaré qu’il ne faut pas sous-estimer l’importance de ce qui se passe. « La PSC doit chercher le meilleur candidat et faire une recommandation. Mais cet imbécile met sur papier ce qui s’est passé », a-t-il affirmé. Il a aussi laissé entendre que l’ancien directeur de l’Audit, tout comme la Clerk de l’Assemblée nationale, ne sont pas parties pour des raisons familiales ou personnelles comme ils le prétendent.