Son histoire a fait le tour de l'île et émue les Mauriciens. Lucy L., 19 ans, victime d'agression et de séquestration, avait porté plainte auprès de la police le 2 février en plein cyclone intense Batsirai.
Alors que le pays est en alerte rouge, Lucy aurait vécu un calvaire. Son ex, sous prétexte d'être jaloux, aurait profité de la faiblesse de la jeune femme, pour faire acte d'une violence barbare. A l'aide d'une arme blanche, il a tailladé plusieurs partie du corps de la jeune femme tout en la menaçant de mort.
En couple durant trois et demi, son ex-compagnon aurait chargé de coups de poing, de cintre, de ceinture, de balai.et coups de pied le corps de la jeune femme. Une brutalité, jusqu'à la forcer à avaler des somnifères.
Recherché, l'agresseur présumé a été arrêté, hier jeudi 10 février, en se rendant à la police. Il était accompagné de son avocat Me Gavin Glover. Le jeune homme de 23 ans a comparu devant la cour de district de Rivière-Noire sous une accusation provisoire de séquestration et de torture. La police a objecté à la remise en liberté conditionnelle, il devait reprendre le chemin de la prison, avant d'être de nouveau traduit devant la justice le 18 février. Au final, apprenons nous, il a été admis à l’hôpital Victoria à Candos cet après-midi.
Alors que le pays est en alerte rouge, Lucy aurait vécu un calvaire. Son ex, sous prétexte d'être jaloux, aurait profité de la faiblesse de la jeune femme, pour faire acte d'une violence barbare. A l'aide d'une arme blanche, il a tailladé plusieurs partie du corps de la jeune femme tout en la menaçant de mort.
En couple durant trois et demi, son ex-compagnon aurait chargé de coups de poing, de cintre, de ceinture, de balai.et coups de pied le corps de la jeune femme. Une brutalité, jusqu'à la forcer à avaler des somnifères.
Recherché, l'agresseur présumé a été arrêté, hier jeudi 10 février, en se rendant à la police. Il était accompagné de son avocat Me Gavin Glover. Le jeune homme de 23 ans a comparu devant la cour de district de Rivière-Noire sous une accusation provisoire de séquestration et de torture. La police a objecté à la remise en liberté conditionnelle, il devait reprendre le chemin de la prison, avant d'être de nouveau traduit devant la justice le 18 février. Au final, apprenons nous, il a été admis à l’hôpital Victoria à Candos cet après-midi.