Si la fête battait son plein vendredi soir à l'occasion des 89 printemps de Sir Anerood Jugnauth entre tambours et trompettes, c'est à travers un communiqué ce samedi 30 mars, que Vishnu Lutchmeenaraidoo a indiqué qu’il a «pris bonne note» des déclarations du ministre mentor et qu’il réagira en «en temps et lieu».
Lors du discours d'anniversaire de Sir Anerood , père et fils entre éloges et auto congratulations, n'ont pas hésité à tacler et critiquer Lutchmeenaraidoo pour avoir fait état de sa «honte» que la croissance n’ait pas dépassé les 3%. Allant jusqu'à dire « Il faut bien des clowns pour nous divertir ». Référence à Vishnu Lutchmeenaraidoo et Paul Bérenger.
Pour rappel, l'ancien ministre des Affaires Etrangères a démissionné le 21 mars, comme ministre et député sous le mandat de Pravind Jugnauth.
Il avait claqué la porte avec un tonitruant : « Enough is enough » !
Vishnu Lutchmeenaraidoo a évoqué une journée très dure, mais nécessaire. Il a aussi précisé que sa décision de démissionner est irrévocable.
Il s'était présenté dans l’électorat de la circonscription n° 7 par l’Alliance Lepep comme ministre des Finances aux dernières législatives afin de rééditer le « miracle économique » des années 80. Il a été par la suite transféré aux Affaires étrangères en 2016 dans le sillage du prêt en euros que celui-ci avait contracté à la SBM.
Lors du discours d'anniversaire de Sir Anerood , père et fils entre éloges et auto congratulations, n'ont pas hésité à tacler et critiquer Lutchmeenaraidoo pour avoir fait état de sa «honte» que la croissance n’ait pas dépassé les 3%. Allant jusqu'à dire « Il faut bien des clowns pour nous divertir ». Référence à Vishnu Lutchmeenaraidoo et Paul Bérenger.
Pour rappel, l'ancien ministre des Affaires Etrangères a démissionné le 21 mars, comme ministre et député sous le mandat de Pravind Jugnauth.
Il avait claqué la porte avec un tonitruant : « Enough is enough » !
Vishnu Lutchmeenaraidoo a évoqué une journée très dure, mais nécessaire. Il a aussi précisé que sa décision de démissionner est irrévocable.
Il s'était présenté dans l’électorat de la circonscription n° 7 par l’Alliance Lepep comme ministre des Finances aux dernières législatives afin de rééditer le « miracle économique » des années 80. Il a été par la suite transféré aux Affaires étrangères en 2016 dans le sillage du prêt en euros que celui-ci avait contracté à la SBM.