Les débats ont démarré hier, donnant le coup d’envoi, le Premier ministre a déclaré qu’il n’y a aucune « tentative de museler les radios privées ». ll a aussi souligné que l'objectif des amendements voulus « n'est pas de porter atteinte à la liberté d'expression, ni de tenter de museler les radios privées ».
Pravind Jugnauth a souligné le fait que les amendements ont été imposés par les changements intervenus dans le secteur audiovisuel. Selon lui, les amendements aideront l’IBA à mieux faire son travail.
Le leader de l'opposition, qui est intervenu après le Premier ministre, a déclaré que les amendements proposés démontrent clairement que Top Fm est ciblée par le gouvernement. Il a énuméré une série de mesures prises par les organes gouvernementaux contre Top FM et ses propriétaires.
Il a déclaré que cette croisade a été lancée après que le CEO de Top FM a déposé un recours en révision contre l'octroi de deux licences radio devant les tribunaux. "Il n'y a pas de coïncidence", a-t-il ajouté. Xavier-Luc Duval s’est longuement appesanti sur le fait que la licence radio devra être renouvelée chaque année. Selon lui, il y a deux poids deux mesures car deux radios privées ont vu leur licence renouvelée pour 3 ans. Il ajoute que dans d'autres pays, les licences sont obtenues pour 5 à 8 ans.
Lors de son intervention, Reza Uteem, leader adjoint du MMM, a déclaré qu'il est clair que les amendements proposés vont asphyxier financièrement les radios privées. Pour lui, le jour même où le vendredi noir est célébré est l'un des jours les plus sombres de l'histoire mauricienne en ce qui concerne la liberté d'expression.
Pour lui, les radios sont devenues la cible privilégiée du gouvernement. Faisant référence aux fonctions du Review Panel et au fait que l’IBA pourra prendre en considération les sanctions prises, même si elles sont contestées en justice, Reza Uteem estime que l'IBA usurpera les pouvoirs de la Cour suprême. Ce qui l'amène à dire que l'IBA « sera partie, juge et jury ».
Quant au ministre Stephan Toussaint et Kalpana Koonjoo-Shah ont insisté que « ceux qui respectent la loi n'ont rien à craindre » des autorités. Le ministre des Sports a précisé qu’aucune radio particulière n'est visée par ce projet de loi. Stephan Toussaint a d’ailleurs mis l'accent sur les responsabilités d'une radio. Il a accusé les membres de l'opposition de prendre trop de temps pour parler d'une seule radio.
Pravind Jugnauth a souligné le fait que les amendements ont été imposés par les changements intervenus dans le secteur audiovisuel. Selon lui, les amendements aideront l’IBA à mieux faire son travail.
Le leader de l'opposition, qui est intervenu après le Premier ministre, a déclaré que les amendements proposés démontrent clairement que Top Fm est ciblée par le gouvernement. Il a énuméré une série de mesures prises par les organes gouvernementaux contre Top FM et ses propriétaires.
Il a déclaré que cette croisade a été lancée après que le CEO de Top FM a déposé un recours en révision contre l'octroi de deux licences radio devant les tribunaux. "Il n'y a pas de coïncidence", a-t-il ajouté. Xavier-Luc Duval s’est longuement appesanti sur le fait que la licence radio devra être renouvelée chaque année. Selon lui, il y a deux poids deux mesures car deux radios privées ont vu leur licence renouvelée pour 3 ans. Il ajoute que dans d'autres pays, les licences sont obtenues pour 5 à 8 ans.
Lors de son intervention, Reza Uteem, leader adjoint du MMM, a déclaré qu'il est clair que les amendements proposés vont asphyxier financièrement les radios privées. Pour lui, le jour même où le vendredi noir est célébré est l'un des jours les plus sombres de l'histoire mauricienne en ce qui concerne la liberté d'expression.
Pour lui, les radios sont devenues la cible privilégiée du gouvernement. Faisant référence aux fonctions du Review Panel et au fait que l’IBA pourra prendre en considération les sanctions prises, même si elles sont contestées en justice, Reza Uteem estime que l'IBA usurpera les pouvoirs de la Cour suprême. Ce qui l'amène à dire que l'IBA « sera partie, juge et jury ».
Quant au ministre Stephan Toussaint et Kalpana Koonjoo-Shah ont insisté que « ceux qui respectent la loi n'ont rien à craindre » des autorités. Le ministre des Sports a précisé qu’aucune radio particulière n'est visée par ce projet de loi. Stephan Toussaint a d’ailleurs mis l'accent sur les responsabilités d'une radio. Il a accusé les membres de l'opposition de prendre trop de temps pour parler d'une seule radio.
