L’ancienne présidente de la République a été appelée à la barre des témoins de la commission d’enquête appelée à faire la lumière sur certaines des actions qu’elle a prises.
Ameenah Gurib-Fakim a lu une déposition de 36 pages, dans laquelle elle soutient n’avoir jamais demandé à Dass Appadu d’intervenir auprès de la Financial Services Commission qui étudiait la demande du groupe Sobrinho pour une licence bancaire.
Ameenah Gurib-Fakim s’était préparée à cet exercice. D’où le document de 36 pages. Elle voulait répondre à toutes les critiques faites à son encontre. Elle a ainsi indiqué que le Premier ministre d’alors, sir Anerood Jugnauth, approuvait ses initiatives depuis la State House.
Puis, elle a concentré ses tirs sur Dass Appadu. Elle a souligné qu’elle n’a jamais insisté pour qu’il continue à travailler à la State House, qu’elle ne lui a pas demandé de continuer à l’aider dans les tâches administratives et, mieux, de se joindre à Planet Earth Institute.
C’est là qu’elle a lancé le scud en direction de l’ancien secrétaire à la Présidence en précisant qu’elle ne lui a jamais demandé de s’enquérir de la situation concernant la demande de licence bancaire formulée par Alvaro Sobrinho Africa.
Ameenah Gurib-Fakim a lu une déposition de 36 pages, dans laquelle elle soutient n’avoir jamais demandé à Dass Appadu d’intervenir auprès de la Financial Services Commission qui étudiait la demande du groupe Sobrinho pour une licence bancaire.
Ameenah Gurib-Fakim s’était préparée à cet exercice. D’où le document de 36 pages. Elle voulait répondre à toutes les critiques faites à son encontre. Elle a ainsi indiqué que le Premier ministre d’alors, sir Anerood Jugnauth, approuvait ses initiatives depuis la State House.
Puis, elle a concentré ses tirs sur Dass Appadu. Elle a souligné qu’elle n’a jamais insisté pour qu’il continue à travailler à la State House, qu’elle ne lui a pas demandé de continuer à l’aider dans les tâches administratives et, mieux, de se joindre à Planet Earth Institute.
C’est là qu’elle a lancé le scud en direction de l’ancien secrétaire à la Présidence en précisant qu’elle ne lui a jamais demandé de s’enquérir de la situation concernant la demande de licence bancaire formulée par Alvaro Sobrinho Africa.