Face à la presse, Paul Bérenger a commenté les négociations entre le MMM, le PMSD et le Ptr. Il a déclaré que le 5 janvier dernier, Nando Bodha, Xavier-Luc Duval et lui-même se sont rencontrés. Le lendemain, Duval et lui ont rencontré Navin Ramgoolam afin de poursuivre les discussions sur une éventuelle alliance.
« Les choses sont en train d'évoluer dans la bonne direction. L'exécutif du Ptr va se rencontrer ce mois-ci. Xavier-Luc Duval rentre au pays à la fin du mois. Les dirigeants de l'Espoir vont se rencontrer au retour de Duval et après, nous allons rencontrer Ramgoolam de nouveau. Mais les choses vont dans la même direction », a-t-il déclaré.
Paul Bérenger a aussi commenté les propos du Premier ministre et d'autres ministres indiquant que le gouvernement ira jusqu'au bout de son mandat. « Je ne suis pas étonné. Certains font de la politique pour se faire de l'argent. Ils vont donc empocher gros jusqu'à la dernière minute. Mais ce n'est pas au gouvernement de décider. Attendons voir ce qu'il adviendra de l'affaire Dayal devant le Privy Council », a-t-il déclaré.
Mais en attendant, a déclaré le leader du MMM, le gouvernement a peur d'une défaite aux municipales. « C'est leur plus grande crainte. Ils se foutent pas mal de la démocratie », a-t-il souligné.
« Les choses sont en train d'évoluer dans la bonne direction. L'exécutif du Ptr va se rencontrer ce mois-ci. Xavier-Luc Duval rentre au pays à la fin du mois. Les dirigeants de l'Espoir vont se rencontrer au retour de Duval et après, nous allons rencontrer Ramgoolam de nouveau. Mais les choses vont dans la même direction », a-t-il déclaré.
Paul Bérenger a aussi commenté les propos du Premier ministre et d'autres ministres indiquant que le gouvernement ira jusqu'au bout de son mandat. « Je ne suis pas étonné. Certains font de la politique pour se faire de l'argent. Ils vont donc empocher gros jusqu'à la dernière minute. Mais ce n'est pas au gouvernement de décider. Attendons voir ce qu'il adviendra de l'affaire Dayal devant le Privy Council », a-t-il déclaré.
Mais en attendant, a déclaré le leader du MMM, le gouvernement a peur d'une défaite aux municipales. « C'est leur plus grande crainte. Ils se foutent pas mal de la démocratie », a-t-il souligné.