Après l'annonce du CEO et le chairman d’Air Mauritius, Somas Appavoo et Arjoon Sudhoo, qui ont annoncé que la compagnie a enregistré des pertes d’un milliard pour les 9 derniers mois de 2018 (avril à décembre), plusieurs raisons ont été avancées pour expliquer cette situation. Le prix du carburant, mais aussi les salaires et les investissements dans les nouveaux appareils.
Si le volet des salaires n'a pas encore été abordé de façon sérieuse, on sait que les négociations sont en cours pour le report d'un des deux Airbus A350 qui devait être livré au mois de novembre de cette année.
L’arrivée des deux A330 en mars et avril n’est cependant pas remise en cause.
L'idée d'accueillir quatre nouveaux avions en une seule année était déjà une hérésie avec la situation financière de Air Mauritius. Avec le coup d'un milliard de roupies de perte en à peine neuf mois, il est évident que la direction n'a pas pris en compte les risques avec ces Airbus. Une gestion déplorable maintes fois signalée.
Malgré les grosses "pointures", grassement payés à Air Mauritius, il va falloir attendre le recrutement d’un "consultant" qui devra soumettre un rapport d’ici avril concernant la gestion de la compagnie pour venir les sortir de là, et ce n'est pas gagné !
Crash programmé et un CEO dans une forte zone de turbulences
Si le volet des salaires n'a pas encore été abordé de façon sérieuse, on sait que les négociations sont en cours pour le report d'un des deux Airbus A350 qui devait être livré au mois de novembre de cette année.
L’arrivée des deux A330 en mars et avril n’est cependant pas remise en cause.
L'idée d'accueillir quatre nouveaux avions en une seule année était déjà une hérésie avec la situation financière de Air Mauritius. Avec le coup d'un milliard de roupies de perte en à peine neuf mois, il est évident que la direction n'a pas pris en compte les risques avec ces Airbus. Une gestion déplorable maintes fois signalée.
Malgré les grosses "pointures", grassement payés à Air Mauritius, il va falloir attendre le recrutement d’un "consultant" qui devra soumettre un rapport d’ici avril concernant la gestion de la compagnie pour venir les sortir de là, et ce n'est pas gagné !
Crash programmé et un CEO dans une forte zone de turbulences
