Les deux nouveaux A330-900 Neo, l’Aapravasi Ghat et le Chagos Archipelago dont la livraison était prévue au mois de septembre et octobre dernier, est programmée finalement en janvier et en avril 2019.
Ce qui est loin d'arranger les affaires de la compagnie nationale d'un niveau financier car l’arrivée de deux autres appareils, des A350-900, est également programmée pour fin 2019.
Une compensation financière pour le retard des A330-900 est également à l’étude. Quatre avions long courriers en une seule année engendrent des conséquences financières, obligeant par ailleurs la compagnie à revoir son programme de vols pour éliminer au maximum les coûts inutiles. D'où le choix de retarder l’ouverture de la liaison Plaisance/Bangkok.
À l’origine du problème, la compagnie Rolls-Royce, dont les moteurs utilisés par les avions d’Air Mauritius, n’arrive pas à honorer son carnet de commandes pour Airbus. Pour la fin d’octobre, elle devait livrer trente moteurs Trent 7000, elle n’a pu en fournir que dix jusqu’ici.
Conséquence : Airbus ne parvient pas à livrer tous les A330-900 qu’il avait promis pour l’année en cours. Outre les quatre appareils de 2019, deux autres A350-900 devraient renforcer la flotte de la compagnie aérienne nationale en 2023.
Ce qui est loin d'arranger les affaires de la compagnie nationale d'un niveau financier car l’arrivée de deux autres appareils, des A350-900, est également programmée pour fin 2019.
Une compensation financière pour le retard des A330-900 est également à l’étude. Quatre avions long courriers en une seule année engendrent des conséquences financières, obligeant par ailleurs la compagnie à revoir son programme de vols pour éliminer au maximum les coûts inutiles. D'où le choix de retarder l’ouverture de la liaison Plaisance/Bangkok.
À l’origine du problème, la compagnie Rolls-Royce, dont les moteurs utilisés par les avions d’Air Mauritius, n’arrive pas à honorer son carnet de commandes pour Airbus. Pour la fin d’octobre, elle devait livrer trente moteurs Trent 7000, elle n’a pu en fournir que dix jusqu’ici.
Conséquence : Airbus ne parvient pas à livrer tous les A330-900 qu’il avait promis pour l’année en cours. Outre les quatre appareils de 2019, deux autres A350-900 devraient renforcer la flotte de la compagnie aérienne nationale en 2023.
