C’est la position, a-t-il déclaré, du PMSD et non de l’entente L’Espoir, qui réfléchit toujours sur le dossier.
Pour sauver Air Mauritius, a insisté Xavier-Luc Duval, il n’y a qu’une seule option et c’est la privatisation. Le leader de l’opposition était face à la presse ce matin.
Il a évoqué trois raisons pour lesquelles Air Mauritius s’est retrouvée en faillite. Et cela, avant même la Covid-19. Elles sont : (i) l’interférence politique à outrance, (ii) la mauvaise gestion et la nomination de personnes qui n’ont pas les compétences voulues et (iii) l’achat d’avions à des prix exorbitants.
Ces trois facteurs font qu’aujourd’hui, le gouvernement va prendre plus de Rs 12 milliards des caisses de l’État pour l’injecter dans la compagnie d’aviation nationale. « Pour le PMSD, c’est de l’argent brûlé. Nous aurions pu, avec cette somme, construire 12 500 logements », a-t-il déclaré.
Et Xavier-Luc Duval de déplorer que beaucoup trop de nominés qui n’ont aucune compétence dans le domaine de l’aviation se sont retrouvés à la tête d’Air Mauritius. Il a évoqué sa tristesse concernant le sort des employés. « Les innocents sont en train de payer pour les coupables », a-t-il déclaré. Il a réclamé de la transparence, surtout concernant l’argent public. Le leader du PMSD a aussi déploré le fait qu’en 17 mois les administrateurs n’ont proposé aucun plan de relance.
Xavier-Luc Duval a aussi évoqué « la perte de crédibilité » de Statistics Mauritius, surtout après l’épisode du rapport émis et repris avant d’être remplacé par un autre. Pour lui, l’indépendance de cette institution a été détruite par le gouvernement et surtout l’interférence outrancière du ministre des Finances. Évoquant les derniers chiffres du chômage, il a déclaré que le nombre a considérablement augmenté. Il a rappelé qu’en décembre, le nombre de chômeurs était de 94 200 et le nombre de chômeurs de 94 200. En six mois, le nombre de personnes en emploi, selon Statistics Mauritius, a diminué de 50 400. Pour Xavier-Luc Duval, le nombre de chômeurs a largement dépassé les 100 000. « Il doit osciller entre 120 000 et 150 000 », a-t-il déclaré.
Pour sauver Air Mauritius, a insisté Xavier-Luc Duval, il n’y a qu’une seule option et c’est la privatisation. Le leader de l’opposition était face à la presse ce matin.
Il a évoqué trois raisons pour lesquelles Air Mauritius s’est retrouvée en faillite. Et cela, avant même la Covid-19. Elles sont : (i) l’interférence politique à outrance, (ii) la mauvaise gestion et la nomination de personnes qui n’ont pas les compétences voulues et (iii) l’achat d’avions à des prix exorbitants.
Ces trois facteurs font qu’aujourd’hui, le gouvernement va prendre plus de Rs 12 milliards des caisses de l’État pour l’injecter dans la compagnie d’aviation nationale. « Pour le PMSD, c’est de l’argent brûlé. Nous aurions pu, avec cette somme, construire 12 500 logements », a-t-il déclaré.
Et Xavier-Luc Duval de déplorer que beaucoup trop de nominés qui n’ont aucune compétence dans le domaine de l’aviation se sont retrouvés à la tête d’Air Mauritius. Il a évoqué sa tristesse concernant le sort des employés. « Les innocents sont en train de payer pour les coupables », a-t-il déclaré. Il a réclamé de la transparence, surtout concernant l’argent public. Le leader du PMSD a aussi déploré le fait qu’en 17 mois les administrateurs n’ont proposé aucun plan de relance.
Xavier-Luc Duval a aussi évoqué « la perte de crédibilité » de Statistics Mauritius, surtout après l’épisode du rapport émis et repris avant d’être remplacé par un autre. Pour lui, l’indépendance de cette institution a été détruite par le gouvernement et surtout l’interférence outrancière du ministre des Finances. Évoquant les derniers chiffres du chômage, il a déclaré que le nombre a considérablement augmenté. Il a rappelé qu’en décembre, le nombre de chômeurs était de 94 200 et le nombre de chômeurs de 94 200. En six mois, le nombre de personnes en emploi, selon Statistics Mauritius, a diminué de 50 400. Pour Xavier-Luc Duval, le nombre de chômeurs a largement dépassé les 100 000. « Il doit osciller entre 120 000 et 150 000 », a-t-il déclaré.
