
La bataille entre le Bar Council et l’avocat-parlementaire s'est poursuit devant la cour suprême.
Vendredi matin, devant la juge Shameem Hamuth-Laulloo, le représentant de l’Ordre des avocats a brandi l’argument d’abus de procédures pour convaincre le juge de ne pas accéder à la demande d’injonction de Sanjeev Teeluckdharry.
Pour Me Rishi Pursem, l’avocat-parlementaire aurait dû choisir la révision judiciaire pour contester les procédures visant à le suspendre et à le convoquer devant un comité. Or, il a choisi l’option d’une injonction de la cour suprême.
Cette démarche, pour le Bar Council, équivaut à un abus de procédures. D’où le fait que, selon l’instance, la cour suprême ne doit pas accéder à la demande de Sanjeev Teeluckdharry. L’affaire a été renvoyée à une date ultérieure.
Vendredi matin, devant la juge Shameem Hamuth-Laulloo, le représentant de l’Ordre des avocats a brandi l’argument d’abus de procédures pour convaincre le juge de ne pas accéder à la demande d’injonction de Sanjeev Teeluckdharry.
Pour Me Rishi Pursem, l’avocat-parlementaire aurait dû choisir la révision judiciaire pour contester les procédures visant à le suspendre et à le convoquer devant un comité. Or, il a choisi l’option d’une injonction de la cour suprême.
Cette démarche, pour le Bar Council, équivaut à un abus de procédures. D’où le fait que, selon l’instance, la cour suprême ne doit pas accéder à la demande de Sanjeev Teeluckdharry. L’affaire a été renvoyée à une date ultérieure.