C’est dans le cadre de la demande de révision judiciaire réclamée par Me Satyajit Boolell. Le DPP conteste sa convocation par l’Icac dans le cadre de l’affaire Sun Tan. La demande est dirigée contre l’ICAC, le ministère des Terres et du logement et le Senior Chief Executive dudit ministère.
Vendredi, à l’appel de l’affaire devant les juges Shameen Hamuth-Lauloo et Karuna Devi Gunesh-Balaghee, les trois parties défenderesse ont déposé leur affidavit. Mais le plus intéressant est celui de l’Icac, juré par le Chief Investigator, Poonoosamy Moonesawmy. Il a déclaré que l’institution enquête selon les paramètres de la loi, « en toute indépendance » et de « manière professionnelle ».
Il a aussi démenti toute manœuvre visant à évincer Me Satyajit Boolell de son poste de DPP. Et d’ajouter qu’au nom de la bonne gouvernance, il faut un système qui sera opérationnel à chaque fois que lui-même ou un officier de son bureau fait l’objet d’une procédure pénale. Et le Chief Investigator d’ajouter que dans un état de droit, le DPP n’est pas au-dessus des lois et qu’il peut faire l'objet d'une enquête criminelle.
Rappelons que cette affaire concerne une enquête de l’Icac sur les irrégularités alléguées entourant le loyer que devait payer la compagnie Sun Tan Hotels Pty Limited, dont le DPP était l’un des directeurs. Il s’agissait du loyer pour un bail sur les Pas géométriques à Palmar.
Vendredi, à l’appel de l’affaire devant les juges Shameen Hamuth-Lauloo et Karuna Devi Gunesh-Balaghee, les trois parties défenderesse ont déposé leur affidavit. Mais le plus intéressant est celui de l’Icac, juré par le Chief Investigator, Poonoosamy Moonesawmy. Il a déclaré que l’institution enquête selon les paramètres de la loi, « en toute indépendance » et de « manière professionnelle ».
Il a aussi démenti toute manœuvre visant à évincer Me Satyajit Boolell de son poste de DPP. Et d’ajouter qu’au nom de la bonne gouvernance, il faut un système qui sera opérationnel à chaque fois que lui-même ou un officier de son bureau fait l’objet d’une procédure pénale. Et le Chief Investigator d’ajouter que dans un état de droit, le DPP n’est pas au-dessus des lois et qu’il peut faire l'objet d'une enquête criminelle.
Rappelons que cette affaire concerne une enquête de l’Icac sur les irrégularités alléguées entourant le loyer que devait payer la compagnie Sun Tan Hotels Pty Limited, dont le DPP était l’un des directeurs. Il s’agissait du loyer pour un bail sur les Pas géométriques à Palmar.