Deux anciens cadres de PAD Co ont été arrêtés. Il s’agit de l’ex-Manager Patrice Leung Ham Hing et de l’ancien comptable Khemraj Mojee.
Les deux avaient été convoqués au siège de la Commission anti-corruption ce mercredi. Suite à leur interrogatoire, ils ont tous deux été placés en état d’arrestation. Cette décision fait suite aux informations recueillies à partir d’un serveur informatique de la compagnie. Les enquêteurs de l’Icac ont découvert que des chèques totalisant Rs 38 millions qui ont été remis à plusieurs personnes, y compris des hauts-fonctionnaires.
Ces chèques avaient tous un lien avec des projets de la firme danoise Burmeister & Wain Scandinavian Contractor. Cette société danoise est au centre de l’affaire St-Louis. Les deux anciens cadres ont indiqué avoir agi selon les instructions de leur patron, Alain Hao Thyn Voon. Précisons que l’affaire ne concerne pas que l’affaire St Louis. Il semble que l’Icac, grâce à ce serveur, a levé d’autres lièvres. Des fonctionnaires, autres que ceux du CEB, pourraient être inquiétés. Apparemment, des prête-noms auraient même été utilisés pour toucher les chèques en question.
Les deux avaient été convoqués au siège de la Commission anti-corruption ce mercredi. Suite à leur interrogatoire, ils ont tous deux été placés en état d’arrestation. Cette décision fait suite aux informations recueillies à partir d’un serveur informatique de la compagnie. Les enquêteurs de l’Icac ont découvert que des chèques totalisant Rs 38 millions qui ont été remis à plusieurs personnes, y compris des hauts-fonctionnaires.
Ces chèques avaient tous un lien avec des projets de la firme danoise Burmeister & Wain Scandinavian Contractor. Cette société danoise est au centre de l’affaire St-Louis. Les deux anciens cadres ont indiqué avoir agi selon les instructions de leur patron, Alain Hao Thyn Voon. Précisons que l’affaire ne concerne pas que l’affaire St Louis. Il semble que l’Icac, grâce à ce serveur, a levé d’autres lièvres. Des fonctionnaires, autres que ceux du CEB, pourraient être inquiétés. Apparemment, des prête-noms auraient même été utilisés pour toucher les chèques en question.
